La rectrice à l'écoute aux Rosoirs à Auxerre
- il y a 8 ans
Pas de grand cortège ni d'ostentation. Mais des établissements verrouillés, des visiophones à l'entrée, impossible d'entrer si on n'a pas le sésame.
La visite de la nouvelle rectrice de l'académie de Dijon, vendredi à Auxerre, serait facilement passée inaperçue. Le député Guillaume Larrivé qui n'a pas voulu rater ça, prit d'ailleurs la rectrice pour quelqu'un d'autre qu'il salua respectueusement avant de s'entendre dire "hé là la rectrice c'est moi !", venant d'une femme bien reconnaissable au second rang.
Pilotée par Sophie Fèvre la nouvelle directrice du désormais Pôle des Rosoirs qui regroupe l'école maternelle et l'école élémentaire, et flanquée de Guy Paris, adjoint au maire d'Auxerre, de Valérie Leuger conseillère départementale d'Auxerre 1 et du député Guillaume Larrivé, Frédérique Alexandre-Bailly s'est immergée dans la nouvelle classe petite section et dans celle les moyens grands.
Accroupie, à hauteur des enfants, elle a passé une heure à bavardé avec eux ainsi qu'avec tout l'encadrement.
Puis ce fut la montée vers le saint des saints sur la colline, l'école élémentaire des Rosoirs, connue pour son exemplarité, son école d'application et son histoire liée aux femmes et aux hommes - une pensée particulière pour Francis Romero pédagogue et manager - qui ont mis la main à la pâte pour en faire une école d'avant-garde de l'apprentissage des sciences.
Une table ronde rassemblant tous les enseignants des deux structures a permis à chacun de s'exprimer sur le projet de l'école et son fonctionnement. Un fonctionnement qui a subi les aléas d'une instabilité du corps des enseignants formateurs ces dernières années mais qui s'est remise dans les rails.
Une surprise chorale, belle et citoyenne était réservée pour la fin avant le départ pour la visite les lycées hôtelliers Saint-Germain et Vauban d'Auxerre dont les enjeux en termes d'apprentissage et d'insertion professionnelle sont d'importance.
Une journée bine remplie sous un chaud soleil qui a chauffé à blanc le toit hangar de l'école des Rosoirs.
La visite de la nouvelle rectrice de l'académie de Dijon, vendredi à Auxerre, serait facilement passée inaperçue. Le député Guillaume Larrivé qui n'a pas voulu rater ça, prit d'ailleurs la rectrice pour quelqu'un d'autre qu'il salua respectueusement avant de s'entendre dire "hé là la rectrice c'est moi !", venant d'une femme bien reconnaissable au second rang.
Pilotée par Sophie Fèvre la nouvelle directrice du désormais Pôle des Rosoirs qui regroupe l'école maternelle et l'école élémentaire, et flanquée de Guy Paris, adjoint au maire d'Auxerre, de Valérie Leuger conseillère départementale d'Auxerre 1 et du député Guillaume Larrivé, Frédérique Alexandre-Bailly s'est immergée dans la nouvelle classe petite section et dans celle les moyens grands.
Accroupie, à hauteur des enfants, elle a passé une heure à bavardé avec eux ainsi qu'avec tout l'encadrement.
Puis ce fut la montée vers le saint des saints sur la colline, l'école élémentaire des Rosoirs, connue pour son exemplarité, son école d'application et son histoire liée aux femmes et aux hommes - une pensée particulière pour Francis Romero pédagogue et manager - qui ont mis la main à la pâte pour en faire une école d'avant-garde de l'apprentissage des sciences.
Une table ronde rassemblant tous les enseignants des deux structures a permis à chacun de s'exprimer sur le projet de l'école et son fonctionnement. Un fonctionnement qui a subi les aléas d'une instabilité du corps des enseignants formateurs ces dernières années mais qui s'est remise dans les rails.
Une surprise chorale, belle et citoyenne était réservée pour la fin avant le départ pour la visite les lycées hôtelliers Saint-Germain et Vauban d'Auxerre dont les enjeux en termes d'apprentissage et d'insertion professionnelle sont d'importance.
Une journée bine remplie sous un chaud soleil qui a chauffé à blanc le toit hangar de l'école des Rosoirs.