Mai de Stéphanie Lacombe

Pr Lacombe: "Il faut des masques, mais il faut savoir les porter"

Pr Karine Lacombe: "La situation s'améliore (...) mais les services de réanimations sont encore en tension"

Karine Lacombe pas convaincue de pouvoir boire un verre en terrasse mi-mai

Pr Karine Lacombe : "En Allemagne, ce qui est utilisé principalement ce sont les tests virologiques (...). Les tests sérologiques ne pourront pas permettre de savoir si vous êtes infecté maintenant, mais si vous avez été infecté avant".

26 Mai 13-15 - Pascal Lacombe et Sadia Hadj Orchestre Harmonie de BDX

Pr Karine Lacombe : "Il y a une deuxième vague, qui a commencé fin juillet, mais qui n'a aucun rapport avec ce que l'on a vu en mars-avril"

Karine Lacombe (cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine): "Pour la première quinzaine de mai, on aura les idées plus claires sur les traitements"

Pr Karine Lacombe : "Le gros de l'épidémie est derrière nous, mais on sait tous que l'épidémie a une queue, qui peut traîner pendant des semaines voire des mois"

Pr Karine Lacombe : "On voit bien qu'une grosse majorité des personnes qui ont guéri ne refont pas de symptômes. Mais des personnes qui n'avaient plus de symptômes et qui en ont eu à nouveau (...). Je pense que ce sont plutôt des rechutes."

#MeToo hôpital: "Beaucoup de femmes parlent" depuis le témoignage de Karine Lacombe, mais "il ne faut pas taire ce qui est aussi un #MeToo gay de l'hôpital", indique la journaliste Anne Jouan

Karine Lacombe : "L'immunité collective, on va y arriver un jour. Mais avec un variant aussi contagieux que le Delta, en France, soit on aura été vacciné, soit on aura été malade."

Karine Lacombe : "Je ne dirais pas que l'épidémie est hors de contrôle, mais il était franchement temps de freiner sa progression."

Karine Lacombe : "Le variant delta est extrêmement contagieux, il a acquis des capacités de contamination élevées. Mais on arrive à en maîtriser la diffusion par la vaccination, elle permet de diminuer les hospitalisations et le risque de décès."

Pr Karine Lacombe : "On a un frémissement des augmentations des hospitalisations. Sur l'Île-de-France, les derniers chiffres sont plutôt stables. Mais on reste extrêmement vigilants, avec la rentrée, le retour des vacanciers."

Karine Lacombe (cheffe du service des maladies infectieuses de l'hôpital Saint-Ambroise): "Le déconfinement va encore être allégé, mais ne sera pas total"

Pr Karine Lacombe : "Je suis raisonnablement confiante, extrêmement vigilante, évidemment un peu préoccupée, en particulier par tous les mouvements anti-masques (...) Il faut continuer de vivre, mais faire beaucoup de pédagogie."

Pr. Karine Lacombe : "Ce n'est pas uniquement avec les médicaments antiviraux que l'on va contenir l'épidémie. Peu de traitements ont émergé mais la recherche est très active."

Eric Caumes et Karine Lacombe : "Il ne faut pas avoir à l’esprit qu’à partir du 11 mai, on reprendra notre vie d’avant"

Karine Lacombe : "Fin juillet, nous avons repris les cellules de crises que nous avions interrompues en juillet grâce à la meilleure situation épidémique. Je ne dirais pas que l'hôpital est en crise, mais on est vigilants sur l'évolution de la situation."

Mon stage PAC Peronne Mai 2013 Stephanie