C’est un homme de son temps, accro à l’info et aux réseaux sociaux. C’est aussi un garçon curieux qui a grandi dans un milieu où la culture et les idées étaient quasi sacrées, à l’ombre de la figure tutélaire du couple Montand-Signoret. Comme père de famille et comme citoyen, Benjamin Castaldi déplore qu’Internet représente davantage une addiction narcissique qu’une formidable bibliothèque de connaissances pour la jeunesse. Mais il le dit avec légèreté, sans leçon de morale. La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, mais le souvenir et la soif de connaître doivent demeurer.
Voici son programme : Requiem de Mozart Cantata bwv 147 Bach Bolero de Ravel Toccata et Fugue - Bach
Madeleines:
Jean Michel Jarre Oxygène Yves Montand Clémentine Patrick Fiori Je ne serai jamais
Benjamin Castaldi évoque ses grands-parents Simone Signoret et Yves Montand.
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