Un humoriste s'appuie sur des chiffres véridiques pour démontrer qu'on surestime le terrorisme
- il y a 8 ans
Pour faire face à la paranoïa et à la morosité ambiante, un humoriste canadien, Louis T, nous révèle quelques chiffres et quelques informations au sujet du terrorisme lors de son passage à l'émission BazzoTV sur Télé-Québec.
De quoi en faire redescendre quelques uns sur Terre !
Alors qu'on nous annonce des chiffres à profusion, que les médias et les dirigeants nous mettent en garde face à cette montée du terrorisme et terrorise la population, Louis T, nous révèle des chiffres véridiques pour démontrer que le terrorisme est surestimé.
'Tes chances de mourir du terrorisme sont de 1 sur 116 000 000. T'as 10 fois plus de chances de gagner le gros lot du 6/49. Et ça, tu sais très bien que ça n'arrivera pas, parce que c'est tout le temps en Ontario qu'ils le gagnent», ou quand Louis T explique que le problème avec les terroristes, c'est qu'ils ont gagné.'
Pour être tout à fait objectif, on peut tout de même ajouter que la violence n'est pas une statistique et que nous sommes quand même à un moment charnière de l'Histoire, confrontés à un choc des civilisations. Mais pourquoi dramatiser ?
De quoi en faire redescendre quelques uns sur Terre !
Alors qu'on nous annonce des chiffres à profusion, que les médias et les dirigeants nous mettent en garde face à cette montée du terrorisme et terrorise la population, Louis T, nous révèle des chiffres véridiques pour démontrer que le terrorisme est surestimé.
'Tes chances de mourir du terrorisme sont de 1 sur 116 000 000. T'as 10 fois plus de chances de gagner le gros lot du 6/49. Et ça, tu sais très bien que ça n'arrivera pas, parce que c'est tout le temps en Ontario qu'ils le gagnent», ou quand Louis T explique que le problème avec les terroristes, c'est qu'ils ont gagné.'
Pour être tout à fait objectif, on peut tout de même ajouter que la violence n'est pas une statistique et que nous sommes quand même à un moment charnière de l'Histoire, confrontés à un choc des civilisations. Mais pourquoi dramatiser ?