« Je suis condamnée à ne pas décevoir mes lecteurs » Tristane raconte comment on écrit de l’autofiction, évoque, comme Thibaut, les gens qui se reconnaissent dans le livre, alors qu’ils n’y sont pas, écrit pour être aimée de ses lecteurs – dont certains ont même son numéro de téléphone… Elle conclut sur son rôle involontaire dans une love story au salon de Toulon.