Agression de Dieudonne
- il y a 17 ans
Le tribunal correctionnel de Fort-de-France a condamné samedi matin à 6 mois de prison dont 1 mois ferme et à un euro symbolique de dommages et intérêts, les quatre agresseurs de Dieudonné, au terme de 12 heures de débat.
Les prévenus étaient poursuivis pour « violences en réunion avec préméditation » après l’agression de l’humoriste, le 1er mars dernier, sur le parking d’Antilles Télévision (ATV) à Fort-de-France.
Au cours de l’audience ouverte vendredi à 14 heures (19 h à Paris), les avocats de Dieudonné ont tenté en vain de faire retenir la qualification d’injures raciales puisque l’humoriste s’était fait traiter de « sale négro » avant d’être frappé par ses agresseurs.
Dans son réquisitoire, le procureur de la république avait retenu les injures raciales et réclamé une peine de 6 mois de prison dont trois ferme. De toute évidence, sous la pression politique, le juge n’a pas retenu la thèse des injures raciales.
A l’appel de plusieurs organisations associatives et politiques, plus de mille personnes s’étaient réunies devant le palais de justice, durant le procès. A l’énoncé du jugement, de vives réactions d’hostilités se sont exprimées dans la foule.
Les prévenus étaient poursuivis pour « violences en réunion avec préméditation » après l’agression de l’humoriste, le 1er mars dernier, sur le parking d’Antilles Télévision (ATV) à Fort-de-France.
Au cours de l’audience ouverte vendredi à 14 heures (19 h à Paris), les avocats de Dieudonné ont tenté en vain de faire retenir la qualification d’injures raciales puisque l’humoriste s’était fait traiter de « sale négro » avant d’être frappé par ses agresseurs.
Dans son réquisitoire, le procureur de la république avait retenu les injures raciales et réclamé une peine de 6 mois de prison dont trois ferme. De toute évidence, sous la pression politique, le juge n’a pas retenu la thèse des injures raciales.
A l’appel de plusieurs organisations associatives et politiques, plus de mille personnes s’étaient réunies devant le palais de justice, durant le procès. A l’énoncé du jugement, de vives réactions d’hostilités se sont exprimées dans la foule.