VENDREDI 13
- il y a 9 ans
Comment ai-je pu faire ce film aussi rapidement ?..
Un paradoxe de circonstances, comme lié à une association inconsciente d'idées.
1 - Jeudi 19 novembre 2015 : Je supervise le tournage d'un exercice filmé par mes étudiants qui opèrent au sein du théâtre "LE CUBE", à Nice. Ce tournage se passe bien. Dans l'après-midi, des livreurs viennent déposer au théâtre, un grand nombre de statues mannequins, dans le local de livraison. La lumière est belle... Je prends des photos des effigies ; sans savoir ce que je vais pouvoir en faire, par la suite.
2 - 20h50 : Je prends le dernier avion qui relie Nice à Paris, jeudi soir. Les photographies que j'ai prises dans l'après-midi, me reviennent en tête, sans que je ne sache pourquoi.
3 - Lorsque j'arrive à Paris, vers 23h15, les rues sont désertes. Fait incroyable : un Paris désert et silencieux ; presque "digne" d' "Alphaville" de JL.Godard. C'était assez bizarre, comme impression... Vraiment du jamais vu. Les seules personnes que j'ai croisées sur Montparnasse, étaient des soldats solidement armés, qui pique-niquaient aimablement sur le trottoir, à côté d'un véhicule blindé qui aurait pu faire sauter la moitié de la cité. Les gens du quartier sont venus les encourager, en leur apportant des desserts et du vin. Surréaliste !..
4 - Durant la nuit, comme dans mon sommeil : un trait d'union s'opère dans mon esprit : Faire un film sur les événements du vendredi 13, avec mes photos...
5 - Dès lors, le choses se sont enchaînées très vite. Nous sommes aujourd'hui, samedi : c'est fait !
Bonne projection !...
Un paradoxe de circonstances, comme lié à une association inconsciente d'idées.
1 - Jeudi 19 novembre 2015 : Je supervise le tournage d'un exercice filmé par mes étudiants qui opèrent au sein du théâtre "LE CUBE", à Nice. Ce tournage se passe bien. Dans l'après-midi, des livreurs viennent déposer au théâtre, un grand nombre de statues mannequins, dans le local de livraison. La lumière est belle... Je prends des photos des effigies ; sans savoir ce que je vais pouvoir en faire, par la suite.
2 - 20h50 : Je prends le dernier avion qui relie Nice à Paris, jeudi soir. Les photographies que j'ai prises dans l'après-midi, me reviennent en tête, sans que je ne sache pourquoi.
3 - Lorsque j'arrive à Paris, vers 23h15, les rues sont désertes. Fait incroyable : un Paris désert et silencieux ; presque "digne" d' "Alphaville" de JL.Godard. C'était assez bizarre, comme impression... Vraiment du jamais vu. Les seules personnes que j'ai croisées sur Montparnasse, étaient des soldats solidement armés, qui pique-niquaient aimablement sur le trottoir, à côté d'un véhicule blindé qui aurait pu faire sauter la moitié de la cité. Les gens du quartier sont venus les encourager, en leur apportant des desserts et du vin. Surréaliste !..
4 - Durant la nuit, comme dans mon sommeil : un trait d'union s'opère dans mon esprit : Faire un film sur les événements du vendredi 13, avec mes photos...
5 - Dès lors, le choses se sont enchaînées très vite. Nous sommes aujourd'hui, samedi : c'est fait !
Bonne projection !...