Albin Hamard & Michaël Hilpron
- il y a 9 ans
Albin Hamard
Biographie : Univ. Orléans, Doctorant STAPS, Université d'Orléans.
Ses travaux sensibles à une approche d’anthropologie cognitive multi-située (France/Australie/Inde/Népal/Tibet)
portent sur l'appropriation occidentale des pratiques de méditation bouddhiques tibétaines. Des pratiques
vernaculaires réalisées dans les monastères himalayens à l’enseignement de la méditation attentive à l'université en
passant par l'exercice de la pleine conscience dans des centres de méditation urbains, ses recherches décrivent les
processus d'adoption, d'adaptation et de transformation susceptibles d'accompagner un tel transfert interculturel de
techniques. Avec Michaël Hilpron et Marceau Chenault, il étudie l’intérêt et la faisabilité d'une transposition
didactique de techniques de conscience du corps (méditation, yoga, qigong, Feldenkrais, etc.) dans le champ de l'éducation
et des STAPS. Ces pratiques « somatiques » complémentaires aux jeux sportifs et culturellement métissées suscitent
bien une réflexion transdisciplinaire ouvrant la voie d’une éducation motrice « écologique » et par là, l'accessibilité
pour tous à une meilleure connaissance de soi.
Michaël Hilpron
Biographie : Univ. Orléans, Docteur en STAPS, Université d’Orléans.
Ses recherches portent sur la construction de l’expertise en judo de haut niveau par la culture matérielle. À l’aune
d’une approche ethnologique multi-située (Tenri/Japon, Orléans, Martinique) interrogeant la problématique
anthropologique du Partage, il questionne la place des sensations dans l’appropriation des techniques du corps du
judo, et dans leur enseignement. Une ergonomie de la formation basée sur l’optimisation du potentiel via le
développement d’une meilleure connaissance de soi, et d’une attention-vigilance accrue à l’environnement, permet de
fonder une approche écologique de la performance.
Biographie : Univ. Orléans, Doctorant STAPS, Université d'Orléans.
Ses travaux sensibles à une approche d’anthropologie cognitive multi-située (France/Australie/Inde/Népal/Tibet)
portent sur l'appropriation occidentale des pratiques de méditation bouddhiques tibétaines. Des pratiques
vernaculaires réalisées dans les monastères himalayens à l’enseignement de la méditation attentive à l'université en
passant par l'exercice de la pleine conscience dans des centres de méditation urbains, ses recherches décrivent les
processus d'adoption, d'adaptation et de transformation susceptibles d'accompagner un tel transfert interculturel de
techniques. Avec Michaël Hilpron et Marceau Chenault, il étudie l’intérêt et la faisabilité d'une transposition
didactique de techniques de conscience du corps (méditation, yoga, qigong, Feldenkrais, etc.) dans le champ de l'éducation
et des STAPS. Ces pratiques « somatiques » complémentaires aux jeux sportifs et culturellement métissées suscitent
bien une réflexion transdisciplinaire ouvrant la voie d’une éducation motrice « écologique » et par là, l'accessibilité
pour tous à une meilleure connaissance de soi.
Michaël Hilpron
Biographie : Univ. Orléans, Docteur en STAPS, Université d’Orléans.
Ses recherches portent sur la construction de l’expertise en judo de haut niveau par la culture matérielle. À l’aune
d’une approche ethnologique multi-située (Tenri/Japon, Orléans, Martinique) interrogeant la problématique
anthropologique du Partage, il questionne la place des sensations dans l’appropriation des techniques du corps du
judo, et dans leur enseignement. Une ergonomie de la formation basée sur l’optimisation du potentiel via le
développement d’une meilleure connaissance de soi, et d’une attention-vigilance accrue à l’environnement, permet de
fonder une approche écologique de la performance.