Le cancer du poumon est trop souvent diagnostiqué tardivement, ce qui rend difficile sa prise en charge. Aujourd’hui, plusieurs études laissent penser qu’un dépistage serait utile pour les personnes à risque. Va-t-il être mis en place en France ? Que peut-on en attendre ? Les réponses de Jérôme Viguier, directeur du pôle santé publique et soins de l'Institut national du cancer.
