La lente identification des victimes du massacre de Garissa au Kenya

  • il y a 9 ans
Une semaine après l'attaque de l'université de Garissa qui a fait 148 morts, les corps des victimes continuent à affluer dans une morgue de Nairobi. Mais l'identification des dépouilles est lente et difficile. Les autorités kényanes sont aidées par des bénévoles de la Croix-Rouge. Le directeur du Centre national des gestions des catastrophes avait promis que le processus d’identification serait rapidement terminé.

Plus de 50 victimes ont pu être identifiées grâce aux empreintes digitales et 15 grâce à des mesures biométriques. Transportés dans des cercueils, les corps sont remis aux proches, au compte-goutte. Pour les autres familles, le plus difficile est de ne pas pouvoir les enterrer, les autorités ne savent pas encore quand le processus d'identification prendra fin.

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