La réconciliation avec le cheval, caramba
  • il y a 17 ans
Même si mon prénom signifie : qui aime les chevaux, j'avais un vrai problème avec eux. J'avais peur qu'ils me donnent un coup de sabot quand je passe derrière eux et qu'ils me mordent quand j'en nourrissais un. C'est la taille je crois, le côte massif. Même si, bizarrement, je préfère les percherons pour leur côté lourd donc pas excité. Cela dit, le cheval sur lequel j'ai fait 20 minutes de promenade sur les hauteurs d'Higüey, dans la montagne verte et magique de la République Dominicaine m'a réconcilié avec la gent équine. Il avait un cou plutôt fin et aérodynamique et pas vraiment l'envie de me désarçonner. Il m'a permis de faire le Nicolas Hulot du pauvre et de profiter des paysages et de mes compagnons et compagnes de randonnée. Certes, c'était plus valonné que la Camargue et il a fallu que j'apprenne à me pencher en arrière mais c'était bath.