S'il explose en 1994 dans Le péril jeune et fait battre nos petits coeurs de collégiennes transies, c'est en 1997 dans gadjo Dilo de Tony Gatlif que Romain Duris est à l'apogée de son sex-appeal. On se souviendra notamment de cette scène mémorable, ou nu comme un vers, il poursuit une Rona Hartner également nue et déchâinée. Un avant-goût des saveurs que la vie pouvait nous offrir, pensions-nous.