La prairie après les JEM : biodiversité sans obstacle
- il y a 10 ans
Après avoir accueilli les épreuves d’attelage, la Prairie fait l’objet de mesures pour être encore plus nature.
Les obstacles ont été démontés, le sable retiré. La Prairie et son écosystème font l’objet de toutes les attentions. Le comité d’experts de l’observatoire de la Prairie (1), créé pour les Jeux équestres mondiaux, s’est rendu sur place pour observer les sols et pour déterminer les interventions à réaliser. Le maître-mot est de laisser faire la nature et quelquefois, de lui donner un coup de pouce.
« Par exemple, à l’emplacement de certains obstacles, le sol a été gratté afin de favoriser la réapparition de plantes rares et d’être attractif pour certains oiseaux », explique Jean-Marc Lefèvre, directeur adjoint du service environnement et cadre de vie de la Ville. D’autres mesures, comme l’agrandissement des bordures du fossé ou le réaménagement de l’îlot central du plan d’eau, vont permettre de favoriser la biodiversité du site. « La Prairie va faire l’objet d’un suivi environnemental pendant au moins cinq ans »
précise Nicolas Joyau, maire-adjoint en charge de l’environnement, du développement durable et de l’énergie.
(1) Comité composé d’experts de l’Institut de biologie fondamentale et appliquée de l’Université de Caen, du Groupe ornithologique normand, du Conservatoire botanique national, du Comité régional d’étude pour la protection et l’aménagement de la nature en Basse-Normandie, du Conservatoire des espaces naturels et de la Ville de Caen.
Les obstacles ont été démontés, le sable retiré. La Prairie et son écosystème font l’objet de toutes les attentions. Le comité d’experts de l’observatoire de la Prairie (1), créé pour les Jeux équestres mondiaux, s’est rendu sur place pour observer les sols et pour déterminer les interventions à réaliser. Le maître-mot est de laisser faire la nature et quelquefois, de lui donner un coup de pouce.
« Par exemple, à l’emplacement de certains obstacles, le sol a été gratté afin de favoriser la réapparition de plantes rares et d’être attractif pour certains oiseaux », explique Jean-Marc Lefèvre, directeur adjoint du service environnement et cadre de vie de la Ville. D’autres mesures, comme l’agrandissement des bordures du fossé ou le réaménagement de l’îlot central du plan d’eau, vont permettre de favoriser la biodiversité du site. « La Prairie va faire l’objet d’un suivi environnemental pendant au moins cinq ans »
précise Nicolas Joyau, maire-adjoint en charge de l’environnement, du développement durable et de l’énergie.
(1) Comité composé d’experts de l’Institut de biologie fondamentale et appliquée de l’Université de Caen, du Groupe ornithologique normand, du Conservatoire botanique national, du Comité régional d’étude pour la protection et l’aménagement de la nature en Basse-Normandie, du Conservatoire des espaces naturels et de la Ville de Caen.