A Paris
- il y a 17 ans
À Paris quand un amour fleurit ça fait pendant des semaines deux coeurs qui se sourient, tout ça parce qu'ils s'aiment
À Paris
Au printemps, sur les toits les girouettes tournent et font les coquettes avec le premier vent qui passe indifférent
Nonchalant
Car le vent, quand il vient à Paris n'a plus qu'un seul souci, c'est d'aller musarder
dans tous les beaux quartiers de Paris.
Le soleil, qui est son vieux copain est aussi de la fête et comme deux collégiens ils s'en vont en goguette dans Paris.
Et la main dans la main ils vont sans se frapper
regardant en chemin si Paris a changé.
Il y a toujours des taxis en maraude
qui vous chargent en fraude avant le stationnement
où il y a encore l'agent des taxis.
Au café
On voit n'importe qui qui boit n'importe quoi
Qui parle avec ses mains qui est là depuis le matin
Au café
Il y a la Seine à n'importe quelle heure elle a ses visiteurs qui la regardent dans les yeux ce sont ses amoureux
À la Seine
Et il y a ceux, ceux qui ont fait leur lit près du lit de la Seine et qui se lavent à midi tous les jours de la semaine dans la Seine
Et les autres, ceux qui en ont assez parce qu'ils en ont vu de trop et qui veulent oublier
alors ils se jettent à l'eau, mais la Seine
Elle préfère voir les jolis bateaux se promener sur elle et au fil de son eau jouer aux caravelles
sur la Seine
Les ennuis il n'y en a pas qu'à Paris il y en a dans le monde entier Oui mais dans le monde entier
il n'y a pas partout Paris
Voilà l'ennui
À Paris au quatorze juillet à la lueur des lampions on danse sans arrêt au son de l'accordéon
dans les rues
Depuis qu'à Paris on a pris la Bastille
dans chaque faubourg et à chaque carrefour
il y a des gars et il y a des filles
qui sans arrêt nuit et jour sur les pavés
font des tours et des tours à Paris
Paroles: Francis Lemarque.
À Paris
Au printemps, sur les toits les girouettes tournent et font les coquettes avec le premier vent qui passe indifférent
Nonchalant
Car le vent, quand il vient à Paris n'a plus qu'un seul souci, c'est d'aller musarder
dans tous les beaux quartiers de Paris.
Le soleil, qui est son vieux copain est aussi de la fête et comme deux collégiens ils s'en vont en goguette dans Paris.
Et la main dans la main ils vont sans se frapper
regardant en chemin si Paris a changé.
Il y a toujours des taxis en maraude
qui vous chargent en fraude avant le stationnement
où il y a encore l'agent des taxis.
Au café
On voit n'importe qui qui boit n'importe quoi
Qui parle avec ses mains qui est là depuis le matin
Au café
Il y a la Seine à n'importe quelle heure elle a ses visiteurs qui la regardent dans les yeux ce sont ses amoureux
À la Seine
Et il y a ceux, ceux qui ont fait leur lit près du lit de la Seine et qui se lavent à midi tous les jours de la semaine dans la Seine
Et les autres, ceux qui en ont assez parce qu'ils en ont vu de trop et qui veulent oublier
alors ils se jettent à l'eau, mais la Seine
Elle préfère voir les jolis bateaux se promener sur elle et au fil de son eau jouer aux caravelles
sur la Seine
Les ennuis il n'y en a pas qu'à Paris il y en a dans le monde entier Oui mais dans le monde entier
il n'y a pas partout Paris
Voilà l'ennui
À Paris au quatorze juillet à la lueur des lampions on danse sans arrêt au son de l'accordéon
dans les rues
Depuis qu'à Paris on a pris la Bastille
dans chaque faubourg et à chaque carrefour
il y a des gars et il y a des filles
qui sans arrêt nuit et jour sur les pavés
font des tours et des tours à Paris
Paroles: Francis Lemarque.