"Graves soupçons" sur l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, dit Hollande
- il y a 10 ans
BRUXELLES - 4 juin 2014 - François Hollande a dénoncé un simulacre d'élections en Syrie, quelques heures après l'annonce de la victoire de Bachar Al Assad. Le chef de l’État syrien a été réélu sans surprise avec 88,7% des voix.
Lors d'une conférence de presse à Bruxelles à l'issue du sommet du G7 mercredi, le président français a exprimé ses préoccupations quant à l'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien.
François Hollande a aussi évoqué la question des ressortissants européens, partis combattre en Syrie. Il a indiqué que plus de 30 Français ont déjà trouvé la mort dans ce pays en guerre.
Le président français a prôné une meilleure coopération internationale, notamment en matière de renseignements, soulignant le danger représenté par le retour en Europe de personnes entraînées en Syrie. Une référence au Français Mehdi Nemmouche, soupçonné d'être à l'origine de la tuerie au Musée juif de Bruxelles, qui a fait quatre morts.
Selon des chiffres cités fin avril par les autorités françaises, près de 300 Français seraient partis en Syrie pour participer à des combats.
Dans une décision adoptée mercredi soir, les dirigeants du G7 ont promis d'intensifier leurs efforts pour répondre à cette menace.
Lors d'une conférence de presse à Bruxelles à l'issue du sommet du G7 mercredi, le président français a exprimé ses préoccupations quant à l'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien.
François Hollande a aussi évoqué la question des ressortissants européens, partis combattre en Syrie. Il a indiqué que plus de 30 Français ont déjà trouvé la mort dans ce pays en guerre.
Le président français a prôné une meilleure coopération internationale, notamment en matière de renseignements, soulignant le danger représenté par le retour en Europe de personnes entraînées en Syrie. Une référence au Français Mehdi Nemmouche, soupçonné d'être à l'origine de la tuerie au Musée juif de Bruxelles, qui a fait quatre morts.
Selon des chiffres cités fin avril par les autorités françaises, près de 300 Français seraient partis en Syrie pour participer à des combats.
Dans une décision adoptée mercredi soir, les dirigeants du G7 ont promis d'intensifier leurs efforts pour répondre à cette menace.