L'auberge rouge - Le bonhomme de neige
- il y a 17 ans
Film de Claude Autant-Lara (1951). Version pas trop mal colorisée. Scénario et dialogues de Jean Aurenche et Pierre Bost ("La Traversée de Paris").
Dans une contrée isolée de l'Ardèche, en hiver, sous le règne de Louis-Philippe. Une rupture de timon oblige les occupants d'une diligence à faire halte pour la nuit dans une auberge tenue par les époux Martin (Julien Carette et Françoise Rosay). Ils sont bientôt rejoints par un moine (Fernandel) et son moinillon (Didier d'Yd). Aucun ne se doute que l'auberge est un coupe-gorge : les clients y sont régulièrement assassinés et dépouillés par les deux aubergistes, assistés de leur fille (Marie-Claire Olivia) et de leur commis (Lud Germain). Le prêtre apprend la vérité en confessant la patronne, qui se sait protégée par le secret de la confession. Dès lors, tous ses efforts tendent à sauver les voyageurs et à confondre les coupables, malgré son devoir de discrétion...
Parmi les voyageurs : Jacques Charon, Nane Germon, Grégoire Aslan, Jean-Roger Caussimon. Les deux gendarmes : Manuel Gary et André Cheff. Le cocher : Robert Berri.
L'histoire est inspirée d'une célèbre affaire criminelle. Les époux Martin et leur commis furent arrêtés en 1833 et accusés d'une cinquantaine de meurtres (comme souvent dans ce genre d'affaires, le nombre de victimes reste très incertain, il y en eut probablement moins qu'on ne l'a cru). Condamnés à mort, ils furent exécutés sur le lieu de leurs crimes à Peyrebeille, près du village de Larnace.
Voir aussi l'excellente scène de la confession, envoyée par Trizone :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/auberge%2Brouge/video/x1atlf_fernandellauberge-rouge-1951_music
Dans une contrée isolée de l'Ardèche, en hiver, sous le règne de Louis-Philippe. Une rupture de timon oblige les occupants d'une diligence à faire halte pour la nuit dans une auberge tenue par les époux Martin (Julien Carette et Françoise Rosay). Ils sont bientôt rejoints par un moine (Fernandel) et son moinillon (Didier d'Yd). Aucun ne se doute que l'auberge est un coupe-gorge : les clients y sont régulièrement assassinés et dépouillés par les deux aubergistes, assistés de leur fille (Marie-Claire Olivia) et de leur commis (Lud Germain). Le prêtre apprend la vérité en confessant la patronne, qui se sait protégée par le secret de la confession. Dès lors, tous ses efforts tendent à sauver les voyageurs et à confondre les coupables, malgré son devoir de discrétion...
Parmi les voyageurs : Jacques Charon, Nane Germon, Grégoire Aslan, Jean-Roger Caussimon. Les deux gendarmes : Manuel Gary et André Cheff. Le cocher : Robert Berri.
L'histoire est inspirée d'une célèbre affaire criminelle. Les époux Martin et leur commis furent arrêtés en 1833 et accusés d'une cinquantaine de meurtres (comme souvent dans ce genre d'affaires, le nombre de victimes reste très incertain, il y en eut probablement moins qu'on ne l'a cru). Condamnés à mort, ils furent exécutés sur le lieu de leurs crimes à Peyrebeille, près du village de Larnace.
Voir aussi l'excellente scène de la confession, envoyée par Trizone :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/auberge%2Brouge/video/x1atlf_fernandellauberge-rouge-1951_music