Jacques ATLAN s'insurge contre les propos tenus dans la presse par M. GHARBI, PDG de la clinique, qualifiant la position des élus qui défendaient l'intérêt du contribuable de "partisane et bassement démagogique". J. ATLAN lui rappelle qu'il n'a pas de leçon à donner à des élus qui accomplissent leur mission de défense de l'intérêt général.