interview de Jérôme de l'association Percu-Lture expulsion Mérignac le 31.10.2013
- il y a 10 ans
Mis en ligne le vendredi 1 Novembre 2013 à 14h00
Depuis midi, les deux hommes refusaient de descendre du toit d'un bâtiment abandonné, un ancien stand de tir de l'Armée situé au croisement des avenues Mendès-France et François-Mitterrand à Mérignac en Gironde.
Le GIPN a été saisi pour négocier avec eux. Il s'agit de deux membres de Percu-lture, une association de percussions en lien avec l'Afrique, qui occupent illégalement le bâtiment depuis un an.
Malgré la présence des policiers, ils refusaient toujours de descendre du toit sur lequel ils sont montés dans la matinée. Une manière de refuser l'expulsion locative.
En fin de matinée, ils ont mis le feu à des palettes en bois hissées sur le toit.
Au terme d'une procédure judiciaire, une expulsion devait avoir lieu ce jeudi matin.
D'autres squatteurs ont quitté les lieux mais pas les deux rebelles dont c'est le baroud d' honneur.
Depuis midi, les deux hommes refusaient de descendre du toit d'un bâtiment abandonné, un ancien stand de tir de l'Armée situé au croisement des avenues Mendès-France et François-Mitterrand à Mérignac en Gironde.
Le GIPN a été saisi pour négocier avec eux. Il s'agit de deux membres de Percu-lture, une association de percussions en lien avec l'Afrique, qui occupent illégalement le bâtiment depuis un an.
Malgré la présence des policiers, ils refusaient toujours de descendre du toit sur lequel ils sont montés dans la matinée. Une manière de refuser l'expulsion locative.
En fin de matinée, ils ont mis le feu à des palettes en bois hissées sur le toit.
Au terme d'une procédure judiciaire, une expulsion devait avoir lieu ce jeudi matin.
D'autres squatteurs ont quitté les lieux mais pas les deux rebelles dont c'est le baroud d' honneur.