Le gouvernement nie avoir payé une rançon, les experts évoquent une contrepartie

Si le gouvernement nie avoir livré une rançon aux preneurs d'otage au Niger, les spécialistes s'accordent sur le fait qu'une contrepartie, vraisemblablement financière, a été accordée soit par l'Etat français soit par les sociétés Vinci et Areva, dont les otages étaient des employés. Durée: 01:06
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