MOUVEMENT DE LIBERATION DES CHIOTTES DES PETITS COINS
Quarante ans déjà, 68 ??!!!
Un besoin d'expression personnelle, retrouver la création sans entraves, retrouver la plage sous les pavés, mettre au pouvoir cette imagination qui manque tellement à tous ces arrogants, ces donneurs de leçons, qui nous jugent, nous surveillent, nous embrigadent, nous télédévorent.
Je ne suis pas historien, pas journaliste, pas philosophe, pas envie d’écrire mes mémoires, mais simplement continuer à croire en la liberté, celle des droits de l’homme, bien sûr, mais aussi celle qui fait chanter les sans voix, celle du droit à la paresse de Marcel Duchamp, de l’avoine du poète de Léo Ferré, de cette liberté qui oblige, qui fait dire à René Char :
À tous les repas pris en commun, nous invitons la liberté à s’asseoir. La place demeure vide, mais le couvert reste mis.