Jean-Jacob BICEP, réforme du POSEI
- il y a 11 ans
Les réformes des Programmes d'Options Spécifiques à l'Eloignement et à l'Insularité, plus connus sous le nom de POSEI, ont toujours été des moments clés dans la relation Union européenne- Régions ultrapériphériques.
Aujourd'hui, mardi 5 février 2012, c'est devant le Parlement européen que cette réforme est votée.
Jean-Jacob Bicep, eurodéputé EELV, a souhaité exprimer son soutien à cette réforme, même si certaines dispositions ne sont pas idéales. Il a souhaité saluer le travail de éngociation, qui a permis d'augmenter le budget dédié à ces programmes d'un part, mais afin de permettre de repenser la façon la plus efficace pour réduire les coûts dus à l'insularité, tout en assurant la viabilité et la rentabilité des productions agricoles issus des RUP.
Enfin, il a voulu souhaité l'effort porté pour laisser une grande marge de manœuvre aux autorités régionales compétentes: une gestion décentralisée du programme qui permet aux partenaires ultramarins d'assumer leur légitimité pour appliquer les mesures appropriées aux besoins de leur territoire.
En tant qu'écologiste, il regrette cependant que les mesures de verdissement et d'auto-suffisance alimentaire aillent plus loin, et encourage les Etts membres à appliquer ces principes dans la transposition de ces programmes.
Aujourd'hui, mardi 5 février 2012, c'est devant le Parlement européen que cette réforme est votée.
Jean-Jacob Bicep, eurodéputé EELV, a souhaité exprimer son soutien à cette réforme, même si certaines dispositions ne sont pas idéales. Il a souhaité saluer le travail de éngociation, qui a permis d'augmenter le budget dédié à ces programmes d'un part, mais afin de permettre de repenser la façon la plus efficace pour réduire les coûts dus à l'insularité, tout en assurant la viabilité et la rentabilité des productions agricoles issus des RUP.
Enfin, il a voulu souhaité l'effort porté pour laisser une grande marge de manœuvre aux autorités régionales compétentes: une gestion décentralisée du programme qui permet aux partenaires ultramarins d'assumer leur légitimité pour appliquer les mesures appropriées aux besoins de leur territoire.
En tant qu'écologiste, il regrette cependant que les mesures de verdissement et d'auto-suffisance alimentaire aillent plus loin, et encourage les Etts membres à appliquer ces principes dans la transposition de ces programmes.