Agonie, la rappeuse qui fait buzz
- il y a 15 ans
Agonie, «Ago», pour les intimes, drôle de «blaze» pour une rappeuse. C'est pourtant celui qu'Alison s'est choisi pour faire son buzz sur Internet et sortir son premier album «De l'autre côté du mirroir», dans les bacs depuis lundi 23 mars. Repérée sur Internet par MyMajorCompany - qui a déjà produit Grégoire - cette rappeuse de 22 ans a réuni la somme requise de 70 000 euros en une dizaine de jours, un record pour le site des Internautes producteurs de disques.
«De l'autre côté du mirroir», un premier album intimiste et sombre, au titre référence à Internet, d'où elle vient, «à l'envers du décor, ce que les gens refusent de voir, mais aussi à la mort», explique-t-elle. Le côté sombre, «c'est là que j'ai le plus de facilités à écrire. Quand j'ai commencé à écrire, je ne me suis pas dis que j'allais écrire des trucs sombres et m'appeler Agonie, continue-t-elle, non c'est venu comme ça, naturellement». Son nom, elle le trouve en lisant les synonymes de mort, «Agonie, ça sonnait féminin, c'était parfait», rigole-t-elle.
«De l'autre côté du mirroir», un premier album intimiste et sombre, au titre référence à Internet, d'où elle vient, «à l'envers du décor, ce que les gens refusent de voir, mais aussi à la mort», explique-t-elle. Le côté sombre, «c'est là que j'ai le plus de facilités à écrire. Quand j'ai commencé à écrire, je ne me suis pas dis que j'allais écrire des trucs sombres et m'appeler Agonie, continue-t-elle, non c'est venu comme ça, naturellement». Son nom, elle le trouve en lisant les synonymes de mort, «Agonie, ça sonnait féminin, c'était parfait», rigole-t-elle.