Tour de France 2012 - ÉTAPE.6 - Épernay--Metz.207.5 km(12)
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Division de la ville;
Dès la fin du xvie siècle, Épernay compte trois faubourgs : le faubourg Saint-Thibault, sur la route de Sézanne, le faubourg de la Porte-Lucas, sur la route de Paris, et le faubourg de la Folie, sur la route de Châlons66. La ville s'agrandit progressivement, s'enrichissant de nouveaux quartiers.
En 1965, le quartier de La Villa, ancienne dépendance d'Aÿ, devient Épernay-Rive Droite8. Entre 1968 et 1972, au sud-est de la ville est construit le quartier de Bernon, situé sur la butte-témoin homonyme (208 m d'altitude) à deux kilomètres du centre-ville, pour répondre aux besoins de logements de l'époque ; il compte pour 40 % du parc social de la ville67. En 2007, la ville compte 22 comités de quartier, regroupés dans un conseil de quartier.
Politique et administration;
Après la Révolution, la ville devient le chef-lieu du canton et du district d’Épernay. En 1800, elle devient la sous-préfecture de l’arrondissement d'Épernay. En 1973, le canton d’Épernay est divisé en deux68.
Tendances politiques et résultats[modifier]
La ville fait partie de la sixième circonscription de la Marne. Depuis les élections législatives françaises de 2007, le député de cette circonscription est Philippe Martin, et son suppléant Claude Gobillard.
Politiquement, Épernay est une ville plutôt orientée centre-droit, les électeurs ayant continuellement renouvelé leur soutien aux majorités municipales centre-droit depuis 1983.
À l'élection présidentielle de 2002, le premier tour a vu arriver en tête Jacques Chirac avec 19,45 % des suffrages exprimés, puis Jean-Marie Le Pen avec 17,16 %, suivi de Lionel Jospin avec 15,8 %, Arlette Laguiller avec 8,15 %, François Bayrou avec 7,77 %, Noël Mamère avec 5,34 %, Robert Hue avec 5,04 %, les autres candidats ne dépassant pas le seuil de 5 %69. Au second tour, les électeurs ont voté à 82,08 % des suffrages exprimés pour Jacques Chirac contre 17,92 % pour Jean-Marie Le Pen avec un taux d'abstention de 29,83 %, résultat assez proche des tendances nationales (respectivement 82,21 % et 17,79 % ; abstention 20,29 %).
Au référendum sur le traité constitutionnel pour l'Europe du 29 mai 2005, les Sparnaciens ont voté « Non » à 56,89 % contre 43,11 % de « Oui » avec un taux d’abstention de 41,81 % (France entière : « Non » à 54,67 % ; « Oui » à 45,33 %).
À l'élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 29,42 % des suffrages exprimés, puis Ségolène Royal avec 25,30 %, suivi de François Bayrou avec 17,77 % puis Jean-Marie Le Pen avec 12,62 %, Olivier Besancenot avec 5,19 %, les autres candidats ne dépassant pas le seuil de 5 %. Au second tour, les électeurs ont voté à 51,34 % pour Nicolas Sarkozy contre 48,66 % pour Ségolène Royal avec un taux d'abstention de 24,61 %
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