Xerfi Canal A. Mirlicourtois Immobilier de logement : les disparités régionales se creusent
- il y a 12 ans
Xerfi Canal présente l'étude "Immobilier de logement en France et en régions à l’horizon 2015", réalisée par Vincent Desruelles, directeur d'études Xerfi
De très fortes disparités régionales. C’est ce qui caractérise le marché de l’immobilier de logement en France. Et ces disparités n’ont jamais été aussi fortes. C’est vrai pour les prix, c’est vrai pour les transactions, c’est vrai pour le niveau de la construction neuve. Un mot d’abord sur les prix. Déjà très marqué, l’écart entre Paris et la province s’est fortement accentué ces derniers mois. Dans l’ancien, les prix se sont envolés de près de 32% à Paris intramuros en 2 ans, de 20% en Ile-de-France contre à peine plus de 7% pour la province pris dans son ensemble. Les raisons d’un tel écart sont connues : phénomène de rareté démultiplié en région parisienne, appétit des investisseurs et cherté du foncier. La part du foncier représente ainsi 45% du prix d’une maison individuelle en Ile-de-France, contre 32% sur l’ensemble du territoire. Paris n’est pas la France. Surtout, cela ne doit pas gommer les très fortes disparités des marchés entre les régions elles même. Et les évolutions en province sont loin d’être uniformes.
Alexandre Mirlicourtois, Immobilier de logement : les disparités régionales se creusent, une vidéo Xerfi Canal
www.xerfi.fr
http://www.xerficanal.com/alexandre-mirlicourtois-immobilier-de-logement-les-disparites-regionales-se-creusent-447.html
De très fortes disparités régionales. C’est ce qui caractérise le marché de l’immobilier de logement en France. Et ces disparités n’ont jamais été aussi fortes. C’est vrai pour les prix, c’est vrai pour les transactions, c’est vrai pour le niveau de la construction neuve. Un mot d’abord sur les prix. Déjà très marqué, l’écart entre Paris et la province s’est fortement accentué ces derniers mois. Dans l’ancien, les prix se sont envolés de près de 32% à Paris intramuros en 2 ans, de 20% en Ile-de-France contre à peine plus de 7% pour la province pris dans son ensemble. Les raisons d’un tel écart sont connues : phénomène de rareté démultiplié en région parisienne, appétit des investisseurs et cherté du foncier. La part du foncier représente ainsi 45% du prix d’une maison individuelle en Ile-de-France, contre 32% sur l’ensemble du territoire. Paris n’est pas la France. Surtout, cela ne doit pas gommer les très fortes disparités des marchés entre les régions elles même. Et les évolutions en province sont loin d’être uniformes.
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