PART 02 - UN ARABE DANS MON MIROIR - version française

  • il y a 12 ans
Captation du spectacle (part 2) version française, réalisée par Pierre Grange le 21 juillet 2011 au Centre Chorégraphique National de Rillieux-la-Pape.

Le spectacle “El Miraya El ‘Arabia“, a été présenté au Caire pour la première fois en 26 juin au Rawabet Space. puis à l'Irondale Ensemble de NYC en février 2012

UN ARABE DANS MON MIROIR
Textes : Riad Gahmi et Philippe Vincent
Traduction en arabe : Nabil Gahmi
Traduction en anglais : Bob Lipman
Direction artistique : Philippe Vincent et Florence Girardon
Musique : Bob Lipman
Costumes : Cathy Ray
Lumières : Julie-Lola Lanteri-Cravet
Avec : Anne Ferret, Riad Gahmi, Florence Girardon, Bob Lipman, Philippe Vincent et Estelle Clément-Bealem (France)
ou Scarlet Maressa Rivera (USA), ou Solafa Ghanem (Egypte).

Avec la voix de Catherine Hargreaves et la participation de Terry Greiss.

Coproduction : Scènes, Théâtre de Vénissieux, CCN Rillieux-la Pape, Théâtre des Bernardines Marseille, Forum Freies Theater Düsseldorf, Irondale Ensemble project (NYC) Rawabet Space (Le Caire). Avec l’aide de l’Institut Français et FACE, Fiacre (Région Rhône Alpes) et la ville de Lyon.

À travers une galerie de portraits, du responsable au simple témoin, de la guerre d’Algérie à la révolution égyptienne, en passant par les attentats du onze septembre, nous brosserons un tableau intimiste de l’histoire de ces rapports, tantôt d’attraction, tantôt de répulsion, d’amour et de haine, qui lient l’Occident au « monde arabe ». Une caisse de résonance pour la multitude des voix qui composent cette histoire, insoluble dans le manichéisme politique.
Cinquante individualités anachroniques : Français, étrangers, pompistes, traders, barbiers, otages, policiers, chômeurs, cireurs de chaussures, hôtesse de l’air, groom du WTC1, des années soixante à nos jours, réunis dans un même lieu. Ici, c’est moins la réponse qui nous intéresse, que la multitude des sensations, des points de vue ; moins la réponse, s’il en est, que l’Histoire à l’échelle de l’intime.

Recommandée