6 novembre 2011. Etienne Tshisekedi craque. Depuis la république sud-africaine, le candidat se déclare le nouveau "chef de l'Etat" congolais avant le scrutin. Avec un ultimatum à la clef. Le pouvoir doit relaxer tout militant de son parti encore détenu pour des violences préélectorales. Des propos incompréhensibles à quelques jours de la tenue du scrutin.
Écris le tout premier commentaire