Un frison dont j'ai fais l'acquisition voici 1 an ½, qui était sur l'oeil, qui ne travaillait que très peu et qui de surcroît, avait pris une "rouste" par un maréchal ferr ... Ooops pardon, nous appellerons ça un simple poseur de fer, au point que l'on ne pouvait même plus le ferrer à chaud. Dès qu'il entendait la forge, il était traumatisé. (maintenant, il sert d'appui aux jeunes chevaux pour leurs premiers ferrages).
Il m'a fallu le reconstruire, gagner sa confiance afin de devenir des complices. C'est peut être très prétentieux de ma part, mais je crois que s'il me perdait, il en souffrirait au point de sombrer dans une déprime.
Car notre vie ensemble, même si elle est pleine de travail, en devient un jeu plein de découvertes et de défis à relever.