Courir pour gagner 57° jour grève facteurs Marseille 02
- il y a 13 ans
La course, un tremplin pour la victoire
Les postiers ont couru depuis leur bureau jusqu’à la Rose, siège de leur direction, pour exiger l’ouverture de négociations. Le sport, autre mode d’action pour porter les revendications.
Alain Croce, facteur, cégétiste et communiste, explique le combat pour des emplois stables et contre l’intérim. « Les intérimaires ne sont pas des facteurs, facteur est un métier. »
C’est tout le sens du mouvement de la rue Mazenod, préserver la qualité de la distribution du courrier aux usagers, 6 jours sur 7.
« A un mois de Noël, c’est inadmissible de ne pas trouver un accord. J’ai fait mienne la devise d’Aubagne : la paix est un risque à courir, que perd t-on à prendre le risque de négocier ? »
La Direction opérationnelle territoriale du courrier est restée sourde à l’idée de s’asseoir autour d’une table de négociations. A croire qu’elle imite le président de la République.
Les postiers ont couru depuis leur bureau jusqu’à la Rose, siège de leur direction, pour exiger l’ouverture de négociations. Le sport, autre mode d’action pour porter les revendications.
Alain Croce, facteur, cégétiste et communiste, explique le combat pour des emplois stables et contre l’intérim. « Les intérimaires ne sont pas des facteurs, facteur est un métier. »
C’est tout le sens du mouvement de la rue Mazenod, préserver la qualité de la distribution du courrier aux usagers, 6 jours sur 7.
« A un mois de Noël, c’est inadmissible de ne pas trouver un accord. J’ai fait mienne la devise d’Aubagne : la paix est un risque à courir, que perd t-on à prendre le risque de négocier ? »
La Direction opérationnelle territoriale du courrier est restée sourde à l’idée de s’asseoir autour d’une table de négociations. A croire qu’elle imite le président de la République.