Petit poème en hommage à toutes les femmes qui, au cours des temps, ont été mères, qui le sont ou le seront ... Gratitude et bénédictions à toutes ♥
Messagère du vent
Poussée sans doute par le vent Une étoile s’est posée sur moi. En un riant frémissement M’éclaboussa de sa joie.
Allez savoir pourquoi, Fermant les yeux, je pensais A tous ces ventres de femmes Qui d’âge en âge ont donné la vie. J’en saluais le mystérieux rebondi Je suis l’une d’entre elles Et toi, ma fille, tu es de celles-là Des mères nous fûmes …. Des mères nous devînmes …. Tout en restant à jamais les « filles » De l’une d’entre elles : bénie soit-elle !
Poussée sans doute par le vent Une étoile s’est posée sur moi En un riant frémissement M’éclaboussa de sa joie