est-ce ici? / installation vidéo interactive
- il y a 14 ans
spectacle-installation collective interactive (2007)
Installation vidéo interactive fondée sur la captation du public et la transformation en temps réel de l’image captée. Processus autour de la thématique de la transindividuation (Simondon/Stiegler), i.e. interaction-représentation liées. Boîte métaphysique : existence -> conscience, figure -> visage, jeu -> pictural.
Elle a au départ l’apparence d’une simple projection vidéo : un écran vierge, quelques sièges et puis une caméra vidéo sur un trépied, pointant vers la salle.
Quand les personnes sont assises, l’image de la salle vide apparaît lentement. Au bout d’un moment, le spectateur commence à réaliser que sa propre image apparaît, lorsqu’il est en mouvement, et puis qu’elle disparaît sinon. Les spectateurs commencent à bouger, jouant avec la représentation de leur propre corps et avec celui des autres.
Progressivement entrent alors en jeu, d’autres images, fixes ou vidéos, réalistes ou symboliques, tendant à former un objet pictural autonome. Le processus au départ narcissique devient progressivement poétique et plastique. L’image devient autre, tout en restant fragile et éphémère. « Est-il possible que ce soit nous ? »
Il n’y a pas de bande son : tout se passe dans la salle ! A la fin une ampoule claque, la machine s’arrête, il n’y a plus d’image : est-ce ici ?
La durée totale est d’environ 20 mn.
Installation vidéo interactive fondée sur la captation du public et la transformation en temps réel de l’image captée. Processus autour de la thématique de la transindividuation (Simondon/Stiegler), i.e. interaction-représentation liées. Boîte métaphysique : existence -> conscience, figure -> visage, jeu -> pictural.
Elle a au départ l’apparence d’une simple projection vidéo : un écran vierge, quelques sièges et puis une caméra vidéo sur un trépied, pointant vers la salle.
Quand les personnes sont assises, l’image de la salle vide apparaît lentement. Au bout d’un moment, le spectateur commence à réaliser que sa propre image apparaît, lorsqu’il est en mouvement, et puis qu’elle disparaît sinon. Les spectateurs commencent à bouger, jouant avec la représentation de leur propre corps et avec celui des autres.
Progressivement entrent alors en jeu, d’autres images, fixes ou vidéos, réalistes ou symboliques, tendant à former un objet pictural autonome. Le processus au départ narcissique devient progressivement poétique et plastique. L’image devient autre, tout en restant fragile et éphémère. « Est-il possible que ce soit nous ? »
Il n’y a pas de bande son : tout se passe dans la salle ! A la fin une ampoule claque, la machine s’arrête, il n’y a plus d’image : est-ce ici ?
La durée totale est d’environ 20 mn.