Le mieux c'est d'en parler dépression ado part1
- il y a 15 ans
Leur redonner le goût de vivre
Chaque année, 40 000 jeunes de 15 à 24 ans tentent de mettre fin à leur jours et parmi eux, environ 700 y parviennent. Des chiffres inquiétants, soulignant un véritable problème de santé public.
Si l’adolescence est bien l’âge des oscillations d’humeur tout à fait banales, c’est surtout celui ou l’on se sent le plus vulnérable. Ainsi, les adolescents doutent-ils de tout, mais surtout d’eux-mêmes. Et si un événement douloureux se produit, mettant l’accent sur une fragilité personnelle, ces doutes peuvent se transformer en véritable dépression.
Face à ce mal être, les parents sont perdus.
S’agit-il de la fameuse « crise d’ado » ?
D’un passage anodin de la vie de leur enfant ?
Pourquoi se scarifie-t-il ?
Comment réagir ?
Quand faut-il vraiment s’alarmer ?
A la lumière de témoignages de parents et d’adolescents, Marcel Rufo donnera des conseils concrets et des signes tangibles afin d’aider les parents à distinguer le banal de l’inquiétant. Des signes à ne pas négliger afin de prendre en charge rapidement l’enfant et l’adolescent dépressifs.
Chaque année, 40 000 jeunes de 15 à 24 ans tentent de mettre fin à leur jours et parmi eux, environ 700 y parviennent. Des chiffres inquiétants, soulignant un véritable problème de santé public.
Si l’adolescence est bien l’âge des oscillations d’humeur tout à fait banales, c’est surtout celui ou l’on se sent le plus vulnérable. Ainsi, les adolescents doutent-ils de tout, mais surtout d’eux-mêmes. Et si un événement douloureux se produit, mettant l’accent sur une fragilité personnelle, ces doutes peuvent se transformer en véritable dépression.
Face à ce mal être, les parents sont perdus.
S’agit-il de la fameuse « crise d’ado » ?
D’un passage anodin de la vie de leur enfant ?
Pourquoi se scarifie-t-il ?
Comment réagir ?
Quand faut-il vraiment s’alarmer ?
A la lumière de témoignages de parents et d’adolescents, Marcel Rufo donnera des conseils concrets et des signes tangibles afin d’aider les parents à distinguer le banal de l’inquiétant. Des signes à ne pas négliger afin de prendre en charge rapidement l’enfant et l’adolescent dépressifs.