L'avocat Pierre-Henri Bovis revient sur le mouvement des agriculteurs en colère de ces derniers jours : «Les images m'ont profondément choqué puisque dès le départ on a voulu nous montrer une sorte de conflit entre l'urbain et le rural. J'ai été particulièrement outré de voir, lorsque les tracteurs arrivaient sur Paris au départ pour commencer la manifestation, de voir des blindés partout autour de la capitale, comme si encore une fois, on essayait de mettre une oppositionentre l'urbain et le rural».