16 janvier 2018
À nul autre n’a été accordé ce Don que Tu m’as accordé, ô Seigneur, unique en son genre, me permettant de jouir de Tes Propres Cours Célestes, élevée en Elles, instruite par Yahvé Lui-Même, capable de faire appel à Toi mon Seigneur, le Tout-Puissant, n’importe quand et chaque fois que je le désire, et d’obtenir des réponses ; tout cela rend fous certains ;

par Ta Parole, ô Seigneur, Yahvé, Tu m’as nourrie et m’as instruite par des murmures à mon oreille, n’ayant jamais la moindre peur que Ton choix déshonore la bonne réputation de Ton Puissant Sceptre ! désignée dans toutes les prophéties de joie ou de malheur, Tu m’as chargée d’appeler le monde à se repentir ;

Tu as exposé Ta Grandeur et Ton Autorité sur moi dès le tout début de Ton appel ;

le Seigneur m’a accordé Son temps pour me guider, déclarant de temps à autre qu’Il sera toujours mon Directeur Spirituel, Lui et nul autre ; ‘nul autre’ étaient Ses Propres termes qu’Il m’a adressés pour me conseiller – et, avec le temps, Il l’a montré ; par les éclairs de Ses rayons instructifs lancés sur moi, Il m’a guidée, m’a instruite ; par Ses propres semences, Il m’a nourrie…

et maintenant, j’entends les vociférations tonitruantes de vastes hordes : ‘où est son directeur spirituel ? qu’il se montre, maintenant ! n’en a-t-elle pas ? est-ce possible ? quiconque ayant un tel don devrait –doit– en avoir un ! l’orgueil humain abaissera bientôt ses yeux dans sa chute…’
etc....