On a embarqué sur le bateau d’un pêcheur au chalut
- il y a 5 mois
« La Provence » a partagé le quotidien de Jérôme Vernier ainsi que de ses deux employés, Babacar et Ousmane, partis, depuis le port de Carro, à la pêche aux merlus, soles, rougets, écrevisses et autres mollusques. Durant plus de dix heures, de 5h du matin à 15h30, entre Port-Saint-Louis-du-Rhône et Marseille, on a pu observer les hommes du bateau « AngEvann » dans leur dur labeur.
Jérôme Vernier doit également composer avec des réglementations de plus en plus contraignantes qui ont un impact sur l’activité. Ils ne sont, d’ailleurs, plus que quatre, à ce jour, à pratiquer la pêche au chalut, dans cette même zone.
"Pêcheur, c’est un métier pénible, mais la liberté et la relation particulière avec la nature qu’il procure vaut beaucoup, indique, néanmoins, Jérôme Vernier. Quand on est en phase avec sa passion, on ne doit pas tenir compte des difficultés. C’est une vocation. »
Jérôme Vernier doit également composer avec des réglementations de plus en plus contraignantes qui ont un impact sur l’activité. Ils ne sont, d’ailleurs, plus que quatre, à ce jour, à pratiquer la pêche au chalut, dans cette même zone.
"Pêcheur, c’est un métier pénible, mais la liberté et la relation particulière avec la nature qu’il procure vaut beaucoup, indique, néanmoins, Jérôme Vernier. Quand on est en phase avec sa passion, on ne doit pas tenir compte des difficultés. C’est une vocation. »