Thierry Ardisson et Franck Dubosc en guerre ? Cette déclaration qui a mis le feu aux...

  • il y a 7 mois
Thierry Ardisson et Franck Dubosc en guerre ? Cette déclaration qui a mis le feu aux...
Passé par TF1, Antenne 2, ou encore Canal +, Thierry Ardisson a décidé de revenir sur le service public avec de nombreux projets pour France Télévisions. L’occasion pour lui d’évoquer l’année qui se présente et notamment son émission L’hôtel du temps. Un programme dans lequel l’animateur de 72 ans va interviewer des personnes défuntes grâce à divers outils technologiques. Mais l’acolyte de Laurent Baffie profitait également de sa venue dans l’émission L’instant M sur France Inter pour évoquer une anecdote datant de 2019 dans Salut les Terriens. Pour rappel, nous nous trouvions en pleine période des Gilets Jaunes. De nombreuses personnalités donnaient leur avis dessus en prenant ou non partie. Et Franck Dubosc faisait partie du premier groupe. En effet, l’humoriste avait donné son soutien au mouvement de protestation avant de finalement revenir sur ses choix. Cela lui valant une pluie de critiques et beaucoup d’incompréhension au sein des manifestants. A cause de cette affaire « Patrick Chirac » de Camping a eu beaucoup de mal à digéré les tacles auxquels il a dû faire face et ne voulait plus que son nom soit accolé aux Gilets Jaunes. Ni même que nous ne lui en parlions. C’est pour cette raison que les relations entre l’humoriste et Thierry Ardisson se sont dégradées. « A la fin de C8, je reçois Franck Dubosc. L'attaché de presse me dit : 'j'espère que tu ne vas pas lui parler des Gilets Jaunes. Sois gentil, il vient d'avoir une histoire avec les Gilets Jaunes, il ne faut pas déconner'. Franck arrive et je lui demande : 'pourquoi votre attaché de presse me demande de ne pas vous parler des Gilets Jaunes ? »Mais l’animateur l’interroge malgré les « interdictions » : « La fille vient me voir à la fin de l'émission et elle me dit : 't'as bien compris, tu ne l'auras plus jamais'. Ça veut dire que maintenant, tout est beaucoup négocié d'avance avec les attachés de presse. Ils sont terrorisés par les réseaux sociaux », concluait-il.La Rédaction

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