Le titre paraphrasé : Un fait insolite surprend au tribunal lors de l'affaire du meurtre de Patrice Charlemagne près de Dunkerque par son épouse, Justine Jotham !
- il y a 8 mois
Reconnue coupable d'avoir poignardé son mari
Justine Jotham, conseillère municipale de 37 ans, a admis avoir poignardé son mari à peine 24 heures après avoir été placée en garde à vue mercredi 20 septembre. Elle avait initialement tenté de faire croire à un cambriolage qui aurait mal tourné.
Des doutes quant à la version des faits
Justine Jotham avait contacté les autorités après la mort de son époux dans la nuit du dimanche au lundi 18 septembre. À l'arrivée des forces de l'ordre, la mère tenait son bébé de 20 mois dans les bras, tandis que le corps de Patrice Charlemagne a été découvert peu après, au premier étage de leur domicile près de Dunkerque.
Les enquêteurs écartent rapidement la piste du cambriolage
Malgré les affirmations de Justine Jotham selon lesquelles des intrus auraient pénétré par effraction dans la maison pour s'en prendre à son mari, les enquêteurs ont rapidement écarté la piste du cambriolage. En effet, deux couteaux ensanglantés, une lampe torche et des gants ont été retrouvés près de la résidence du couple, dont un gant présentait une entaille similaire à la blessure à la main gauche de la trentenaire. Ces éléments ont conduit à la mise en garde à vue de la mère de famille.
Mise en examen et détention provisoire
À la suite de sa garde à vue, Justine Jotham a été mise en examen pour "assassinat" et placée en détention provisoire le vendredi 22 septembre 2023, selon les informations du parquet de Dunkerque.
La préoccupation pour son enfant
L'avocate de Mme Jotham, Charlotte Catrix, a déclaré que sa cliente avait coopéré pendant sa garde à vue et qu'elle maintiendrait cette position. Elle a également souligné que la préoccupation principale de Justine Jotham était son enfant. Lors de son arrivée au tribunal, la conseillère municipale tenait une peluche appartenant à sa fille âgée d'un an et demi.
Justine Jotham, conseillère municipale de 37 ans, a admis avoir poignardé son mari à peine 24 heures après avoir été placée en garde à vue mercredi 20 septembre. Elle avait initialement tenté de faire croire à un cambriolage qui aurait mal tourné.
Des doutes quant à la version des faits
Justine Jotham avait contacté les autorités après la mort de son époux dans la nuit du dimanche au lundi 18 septembre. À l'arrivée des forces de l'ordre, la mère tenait son bébé de 20 mois dans les bras, tandis que le corps de Patrice Charlemagne a été découvert peu après, au premier étage de leur domicile près de Dunkerque.
Les enquêteurs écartent rapidement la piste du cambriolage
Malgré les affirmations de Justine Jotham selon lesquelles des intrus auraient pénétré par effraction dans la maison pour s'en prendre à son mari, les enquêteurs ont rapidement écarté la piste du cambriolage. En effet, deux couteaux ensanglantés, une lampe torche et des gants ont été retrouvés près de la résidence du couple, dont un gant présentait une entaille similaire à la blessure à la main gauche de la trentenaire. Ces éléments ont conduit à la mise en garde à vue de la mère de famille.
Mise en examen et détention provisoire
À la suite de sa garde à vue, Justine Jotham a été mise en examen pour "assassinat" et placée en détention provisoire le vendredi 22 septembre 2023, selon les informations du parquet de Dunkerque.
La préoccupation pour son enfant
L'avocate de Mme Jotham, Charlotte Catrix, a déclaré que sa cliente avait coopéré pendant sa garde à vue et qu'elle maintiendrait cette position. Elle a également souligné que la préoccupation principale de Justine Jotham était son enfant. Lors de son arrivée au tribunal, la conseillère municipale tenait une peluche appartenant à sa fille âgée d'un an et demi.