- il y a 2 ans
Avec Thierry Robert, secrétaire national du Secours Populaire.
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00:00 Thierry Robert, bonjour. Vous êtes le secrétaire national du Secours Populaire et vous sortez avec Ipsos, un baromètre de la pauvreté.
00:07 On y apprend que un Français sur cinq déclare vivre à découvert,
00:11 moins d'un Français sur deux déclare parvenir à mettre de l'argent de côté, et près d'un
00:16 sur cinq c'est quand même une hausse assez incroyable de la pauvreté.
00:19 De nombreux Français qui ont des difficultés pour payer certains actes médicaux, qui vont refuser finalement de se soigner,
00:25 qui ont du mal aussi pour tout simplement faire trois repas par jour, et le seuil de la pauvreté subjectif qui est monté à
00:33 1377 euros du fait de l'inflation.
00:36 Alors, Bruno Le Maire, notre ministre de l'économie, disait au micro d'une radio concurrente
00:45 qu'il récusait le terme de paupérisation de la France, mais quand on voit les chiffres,
00:51 de voir qu'il y a 20 à 40 % de hausse du nombre de personnes aidées aux secours populaires,
00:57 quand on voit l'appel à l'aide des Restos du Coeur,
00:59 vous qui travaillez au contact de ces personnes qui tombent dans la pauvreté et la précarité,
01:04 qu'est-ce que vous répondez au ministre ?
01:06 Nous répondons qu'il y a effectivement une population de plus en plus pauvre dans notre pays, et qu'il y a une précarisation aussi.
01:12 Des personnes viennent aux secours populaires français alors qu'il y a quelques années,
01:17 elles n'avaient pas besoin d'aide des associations comme la nôtre.
01:20 Ce sont aussi des personnes d'ailleurs qui, pour certaines d'entre elles, ne sont pas dans les radars des aides sociales,
01:26 et posent question donc sur cette précarisation de personnes qui, pourtant, travaillent,
01:31 ont un salaire, mais n'arrivent pas à joindre les deux bouts, et donc le constat de cette enquête vient appuyer
01:38 la réalité de terrain, de ce que nous vivons, que ce que vivent les 90 000 bénévoles de notre association,
01:45 qui, sur 1300 lieux sur toute la France,
01:48 développent la solidarité, vous l'avez dit, 20 à 40 % selon les territoires, de demande d'aide en plus, mais de
01:54 demandes nouvelles et de populations nouvelles, et c'est là que nous pointons vers cette question de la précarité.
01:59 Et c'est quoi le profil de ces nouveaux,
02:03 nouvelles personnes qui viennent au guichet du secours populaire ?
02:07 Sous l'effet de la période du confinement et du Covid, on avait beaucoup d'étudiants venir
02:13 demander de l'aide, et cette situation n'a pas régressé.
02:17 Donc c'est une population qui a du mal à payer ses études.
02:20 Nous avons aujourd'hui des retraités, qui, plus est, pouvaient, par le passé, aider
02:26 leurs enfants, leurs petits-enfants, qui aujourd'hui ont du mal à joindre les deux bouts, et donc eux aussi
02:30 viennent dans nos libres services de la solidarité au secours populaire.
02:35 Et puis, comme je vous le disais à l'instant, des personnes qui sont en activité professionnelle, des familles monoparentales,
02:41 qui n'arrivent pas à subvenir à leurs besoins.
02:43 - Est-ce que, parce que vous parlez d'un ras-de-marée de la pauvreté, dans un communiqué de presse,
02:48 est-ce que les chiffres vous inquiètent ? Est-ce qu'ils sont inédits en termes d'ampleur, compte tenu
02:55 de l'état économique de notre pays ?
02:58 - D'abord, nous avions pensé qu'après la période dramatique de la crise sanitaire, les choses
03:03 retomberaient un peu, et finalement, non, on est toujours dans un constat d'augmentation, et ces chiffres nous font effectivement peur.
03:10 Parce que nous ne pouvons penser que dans ce pays, seules les associations de solidarité composée bénévole peuvent répondre à cette problématique.
03:18 Et donc là, nous avons une question importante de comment on prend l'humain dans toute sa dimension, et comment
03:24 il est encore mieux et plus accompagné. Nous le faisons, nous, au niveau du secours populaire français, mais comment ça se fait,
03:30 ça peut se faire aussi du côté des pouvoirs publics,
03:34 avec un éloignement considérable
03:37 des relations de proximité avec les populations en difficulté. Quand on est en difficulté, c'est difficile de venir demander de l'aide.
03:43 Devoir remplir des formulaires pour pouvoir percevoir des aides,
03:48 ce n'est pas la bonne solution, et nous dénonçons depuis plusieurs années déjà la dématérialisation
03:52 et l'absence de services de relations de proximité
03:56 avec les personnes en difficulté, pour lequel il faut prendre toute la dimension de la personne pour pouvoir l'aider.
04:02 L'aide alimentaire, c'est important, on le dit, mais aujourd'hui, on parle, vous l'avez dit, du problème d'accès aux soins, au problème de
04:08 paiement de l'énergie. Là, on va parler de sport dans notre pays pendant toute une année,
04:12 l'accès aux pratiques sportives, aux pratiques culturelles, et en ce moment, les enfants qui s'inscrivent dans les clubs de sport ou dans les
04:19 écoles de musique, etc., pour certains, aujourd'hui, ce n'est plus possible.
04:22 Ce n'était pas possible pour d'autres, et nous avons donc de plus en plus d'actions de solidarité au secours populaire
04:28 qui favorisent l'émancipation des gens. Au-delà de l'aide alimentaire,
04:31 tous ceux qui participent, de l'accès aux soins avec les médecins du secours populaire, de l'accès au sport, de l'accès
04:37 aux loisirs, et puis du soutien au maintien au logement.
04:39 - Alors, on l'a vu,
04:42 Aurore Berger, la ministre des Solidarités, a fait appel à l'OMON pour essayer d'aider les associations, notamment les Restos du Coeur. C'est
04:49 la famille de Bernard Arnault, qui est venue médiatiquement en aide au Restos du Coeur. Est-ce que vous, vous avez eu des milliardaires qui sont venus
04:57 à votre chevet pour vous aider, à pouvoir aider les uns et les autres ? Ou est-ce que ce sont les dons
05:02 des Français anonymes qui vous aident aujourd'hui ?
05:04 - Alors, la grosse ressource financière du secours populaire, et on tient à souligner cet élan de générosité
05:09 qui existe aussi dans notre pays. D'ailleurs, notre sondage
05:12 Yves Sausse le dit lui-même, 76%
05:15 alors c'est côté européen, mais ça inclut bien sûr la France, 76% d'européens prêts à faire quelque chose pour venir en aide à leurs prochains.
05:23 L'essentiel de nos ressources, c'est bien sûr la générosité du public, les initiatives de collecte qui sont conduites ici ou là,
05:28 bien évidemment le soutien des pouvoirs publics,
05:31 mais aussi le soutien des entreprises, et parmi celles que vous avez citées, ce sont aussi des partenaires du secours populaire.
05:37 - Alors, je rappelle que vous pouvez faire des dons, c'est sur le site du secourspopulaire.fr
05:42 Vous disiez l'aide des pouvoirs publics, mais il y a quand même une sorte d'hypocrisie entre d'un côté une politique qui vise à
05:51 arrêter certains services publics, les bureaux de poste qui ferment, les services de proximité qui ferment, etc.
05:57 La politique aussi d'austérité de Bruno Le Maire, qui voudrait qu'il n'y ait pas de
06:02 dépenses inconsidérées après le quoi qu'il en coûte, et de l'autre côté des associations sur qui tout repose pour la solidarité,
06:08 et où finalement vous vous rendez compte qu'à un moment
06:11 vous ne voulez pas faire de tri entre les personnes qui auraient droit à une aide et les autres, et qu'il va bien
06:16 falloir trouver une solution. Quelles sont les solutions aujourd'hui qui sont sur la table ?
06:19 - Alors nous au secourspopulaire on n'a pas pour habitude d'agir sur les causes, on est sur les conséquences, on constate à travers ce que nous faisons et
06:26 nous pointons du doigt les difficultés. C'est pourquoi nous voyons bien à travers
06:31 l'augmentation de la précarisation du nombre de personnes que nous aidons, qu'il y a effectivement cet éloignement des services publics de proximité. Nous l'avons dit
06:38 au gouvernement plusieurs reprises, nous le redisons aujourd'hui, et nous avons même souhaité le dire avec les quatre autres associations
06:46 Restos du coeur, Banque Alimentaire et Croix-Rouge au président de la république, pour lequel nous attendons aujourd'hui encore un rendez-vous, de façon à pouvoir échanger
06:53 les yeux dans les yeux de cette situation que nous constatons, sur le fait qu'effectivement
06:57 tout ne peut pas reposer sur l'action des bénévoles, et qu'il y a à la fois la solidarité libre et volontaire, celle de personnes qui se dévouent, de
07:04 citoyens, mais une solidarité obligatoire qui est celle
07:07 qui vient de l'État.
07:10 - Oui, parce que si on regarde les chiffres, en 2022, le CAC 40, les 40 plus importantes sociétés du pays, ont versé
07:17 80 milliards d'euros de dividendes. Alors c'est une entreprise qui fonctionne, pas seulement en France, heureusement c'est une hausse de 15,5%
07:23 c'est deux tiers des bénéfices, à 142 milliards d'euros, et puis l'Observatoire des inégalités
07:29 expliquait en 2022 qu'il faudrait peut-être simplement 8 milliards de plus pour aider toutes ces associations.
07:35 Pourquoi les pouvoirs publics refusent d'aller voir du côté des super-profits pour aider justement la solidarité au niveau national ?
07:41 - C'est vrai qu'il faut le demander.
07:43 Encore une fois, on n'a pas de commentaires à avoir sur le sujet. Ce que l'on constate, on le dit,
07:49 et surtout on dit ce qu'on fait, et ce qu'on fait c'est très concret, et c'est aussi ce sujet qu'il faut prendre en compte.
07:55 La vie associative de ce pays a une place considérable, elle a toujours eu, elle a eu pendant cette période du Covid, le Secours Populaire,
08:02 dès le début du confinement, a choisi de ne pas confiner la solidarité. Les gens se sont dévoués,
08:07 donc il faut entendre effectivement qu'il y a ce dévouement, il faut le soutenir, et la générosité de tous est la bienvenue.
08:13 Après, au pouvoir public d'entendre ce que nous disons, ce que nous constatons, et de prendre les décisions qui leur appartiennent.
08:19 - Et aujourd'hui, le dialogue est en place, il y a une écoute de la part d'Aurore Berger et des différents acteurs ?
08:24 - Nous avons toujours eu de bonnes relations avec le ministère des Solidarités, que ce soit son prédécesseur ou maintenant Aurore Berger,
08:32 et nous avons l'espoir de pouvoir se rencontrer relativement rapidement, mais encore une fois, la situation est dramatique,
08:40 et on ne peut pas résumer la solidarité au seul sujet de manger. Il faut que les gens mangent bien, et on se bat pour ça,
08:47 mais il faut que les gens aient aussi accès à une nourriture autre que celle qui vient dans l'estomac,
08:53 parce qu'à un moment donné, c'est facteur de l'émancipation, du vivre ensemble, du faire ensemble, et c'est important pour notre démocratie.
09:00 - Éviter l'exclusion, ne pas avoir assez d'argent pour pouvoir mettre ses enfants à des activités sportives, aux sorties scolaires, etc.
09:06 - Tout à fait. - On voit que petit à petit, on s'exclue de la société.
09:10 - On l'a vu cette été avec notre campagne "Vacances", où nous avons pu faire partir plus de monde en vacances, mais ce n'est encore pas suffisant.
09:16 - Il y a quand même quelque chose de très préoccupant, c'est qu'en France, dans les années 80 et les années 90,
09:23 on avait réussi à faire reculer le taux de pauvreté, or celui-ci explose depuis quelques années.
09:29 Comment vous l'expliquez, ce retour, cette explosion, ce raz-de-marée de la pauvreté ?
09:36 - Je vous le disais à l'instant, à la fois, bien sûr, il y a la question de l'inflation, le niveau de vie des gens aujourd'hui est pointé du doigt,
09:45 pas seulement par le Secours Populaire, mais aussi et notamment à travers cette étude, qui en est 17e édition,
09:51 donc on peut comparer les chiffres d'année en année, et cette année, ça explose, ça explose sur le nombre de demandes d'aide.
09:57 Donc les conséquences de l'inflation, la difficulté pour les personnes, l'isolement est un facteur essentiel de la précarisation.
10:06 Il faut du temps pour exprimer ses besoins et ses attentes, et des fois, on plonge sans s'en rendre compte vraiment,
10:12 et quand on commence à plonger, il est déjà un peu trop tard. Donc il faut aussi anticiper, il faut sans doute réfléchir à plus
10:19 qu'uniquement les soutiens qui sont aujourd'hui apportés, et heureusement d'ailleurs, quand même, aux associations.
10:25 – Mais est-ce que justement, vous parlez d'isolement, la politique de confinement n'a pas précipité certaines situations
10:31 qui étaient limites vers la pauvreté, parce que justement, on n'avait plus de repères, ni savoir,
10:37 personne jasée notamment, c'était très difficile, est-ce qu'il n'y a pas eu là un bond que vous avez vu,
10:42 suite à la crise sanitaire, et aux politiques sanitaires ?
10:46 – Je pense que tout le monde constate que la crise sanitaire a eu des impacts bien au-delà de son seul souci
10:52 lié à la santé de nos concitoyens, mais malgré tout, derrière le Covid, les choses auraient pu revenir un peu plus à la normale,
11:01 et le fait que l'isolement soit généré par la nécessité pour chacun de faire des demandes à travers des ordinateurs,
11:11 à travers des écrans sur lesquels il faut remplir des cases, on est en difficulté,
11:15 mais ce n'est pas une question d'âge, les jeunes eux-mêmes nous ont dit que c'était compliqué aujourd'hui,
11:19 cette dématérialisation, parce que nous ne pouvons pas exposer réellement nos soucis,
11:24 on remplit des cases, on fait des erreurs, parfois dans certains foyers,
11:27 ce sont les enfants qui remplissent à la place des parents, parce qu'ils sont en difficulté,
11:31 vous imaginez la responsabilité qu'il y a sur des enfants à faire les déclarations des prestations sociales de leurs parents,
11:37 ce sont des situations que nous rencontrons, parce que ces mêmes personnes, nous les accompagnons,
11:41 donc nous savons la difficulté qu'ils ont à pouvoir avoir accès aux aides auxquelles ils pourraient avoir droit.
11:46 – Il y a cette question de la santé publique aussi, vous le dites dans votre enquête,
11:52 c'est beaucoup de Français interrogés qui ont des difficultés pour payer les frais médicaux,
11:57 qui vont refuser finalement de se soigner,
11:59 est-ce qu'on ne prépare pas là encore un vrai sujet de problèmes de santé publique
12:04 avec le problème des dépistages précoces des cancers, avec le problème des maladies chroniques etc.
12:09 est-ce que là, ça ne va pas être encore un coup supplémentaire pour la société
12:13 de voir des malades non pris en charge pour des histoires de pauvreté, de manque de moyens,
12:18 qui vont au final coûter beaucoup plus cher à la sécurité sociale ?
12:21 – Aujourd'hui, c'est parce que nous avons au Secours Populaire,
12:24 ce qu'on appelle les médecins du Secours Populaire, des professionnels de santé qui sont présents
12:28 quand on fait les sorties des enfants, qui sont présents dans nos permanences,
12:31 qui nous accompagnent, y compris pour la question de l'équilibre nutritionnel
12:34 qui est un facteur aussi de santé publique,
12:38 que l'on constate effectivement que des gens sont éloignés de ces services,
12:42 ça renforce encore plus ce que l'on dit sur la relation de proximité.
12:47 Et aujourd'hui, il y a peut-être à regarder de près du côté de la médecine scolaire,
12:51 la médecine du travail, tous ces éléments qui peuvent être facteurs pour détecter des situations.
12:56 En tous les cas, nous on le constate réellement dans nos activités.
12:59 – En fait, on voit dans tout ce que vous dites que le problème c'est l'éloignement
13:03 de certaines structures, de solidarité mais aussi tout simplement de services publics.
13:09 Il y a eu ces lieux de Maison France qui sont là pour essayer de remettre les services publics,
13:15 des camions itinérants aussi, est-ce que vous faites partie de ces initiatives ?
13:19 Est-ce que vous voyez des résultats par rapport à ça ?
13:22 – Alors nous, on a effectivement inventé depuis déjà longtemps les solidaribus
13:26 à un moment où s'est posée la question de la pauvreté, de la précarité dans les milieux ruraux.
13:31 Ces dernières années, nous avons développé ce type de permanence mobile
13:35 pour les milieux ruraux mais aussi pour les milieux étudiants en allant dans les universités.
13:40 Et effectivement, on constate que parfois la seule présence dans certains endroits,
13:45 c'est la permanence, le solidaribus du Secours Populaire.
13:48 – Merci beaucoup Thierry Robert.
13:50 Je rappelle que vous pouvez donner au Secours Populaire sur le site secourspopulaire.fr
13:55 puisque vous avez besoin d'aide et pas seulement de Bernard Arnault et d'autres milliardaires
13:59 mais de tous les Français.
14:01 On se retrouve dans un instant.
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