Plus de 500 migrants squattent une école à Paris, rue Erlanger : La justice doit décider aujourd'hui de leur éventuelle expulsion alors qu'ils vivent dans eau, ni électricité depuis 2 mois
- il y a 11 mois
Plus de 500 migrants squattent une école à Paris, rue Erlanger : La justice doit décider aujourd'hui de leur éventuelle expulsion alors qu'ils vivent dans eau, ni électricité depuis 2 mois. Ils pourraient être expulsés de cette école qu'ils occupent illégalement puis relogés à la demande de la justice. Dans cette ancienne école désaffectée du 16ème arrondissement, 500 jeunes migrants ont donc installé leurs matelas et leurs tentes pour dormir.
En raison de leur grand nombre, l’intérieur des anciennes salles de classe ne suffit pas. Une centaine de tentes ont été installées dans la cour de l’ancien établissement scolaire situé dans la rue Erlanger.
«Il y a deux jeunes par tente à peu près», a décrit Angi, bénévole de l’association Timmy, qui vient en aide aux mineurs isolés et aux jeunes majeurs. Bien qu’ils affirment être mineurs, ces jeunes clandestins n’ont pas été reconnus comme tels par les autorités, et ne peuvent donc pas bénéficier de l’aide sociale à l’enfance.
La plupart d’entre eux ont déposé un recours contre cette décision, et dénoncent leurs conditions de vie : «Notre situation ici n’est pas normale, on ne dort pas bien. Nous voulons de l’aide», a témoigné un jeune homme.
De leur côté, les habitants du quartier ne voient pas d’un bon œil l’occupation de cette école par des clandestins. Plusieurs manifestations se sont déjà tenues devant l’établissement pour dénoncer leur présence.
En raison de leur grand nombre, l’intérieur des anciennes salles de classe ne suffit pas. Une centaine de tentes ont été installées dans la cour de l’ancien établissement scolaire situé dans la rue Erlanger.
«Il y a deux jeunes par tente à peu près», a décrit Angi, bénévole de l’association Timmy, qui vient en aide aux mineurs isolés et aux jeunes majeurs. Bien qu’ils affirment être mineurs, ces jeunes clandestins n’ont pas été reconnus comme tels par les autorités, et ne peuvent donc pas bénéficier de l’aide sociale à l’enfance.
La plupart d’entre eux ont déposé un recours contre cette décision, et dénoncent leurs conditions de vie : «Notre situation ici n’est pas normale, on ne dort pas bien. Nous voulons de l’aide», a témoigné un jeune homme.
De leur côté, les habitants du quartier ne voient pas d’un bon œil l’occupation de cette école par des clandestins. Plusieurs manifestations se sont déjà tenues devant l’établissement pour dénoncer leur présence.