Enregistrer en attente de chirurgies orthopédiques: comme Coufield, les Québécois se tournent vers l
- l’année dernière
#Attenterecord #chirurgiesorthopédiques #comme
https://gotopnews.com/post/1647963
Un québécer souffrant de la même blessure à l'épaule que l'ailier gauche du Canadien, Cole Caufield, pourrait attendre des mois ou même un an avant d'être opéré dans la province, où les attentes atteignent des hauteurs. Actuellement, chirurgies orthopédiques, pour muscles et os, sont celles où il y a patients plus attendus. Comme le 31 décembre 2022, 39 241 personnes attendaient chirurgie orthopédique, un sommet inégalé depuis le début la pandémie, selon les données de laMinistère santé et des services sociaux . Un peu 10 000 personnes sont conduites depuis de six mois et les patients orthopédiques comptent depuis près d'un tiers des personnes en attente pendant d'un an, soit 6 000. Le joueur vedette des habits, Cole Caufield, doit être exploité mercredi dans le Colorado par le Dr Peter Millet.subissent la même opération. "C'est un excellent choix, ils sont allés chercher la crème de la crème", a déclaré le chirurgien Marc Beauchamp, qui a une clinique privée spécialisée dans l'épaule et le coude de Montréal. Pas la priorité Néanmoins, le fonctionnement d'une journée pour attacher des ligaments, simple à organiser et avec une plate-forme technique de base, ne serait pas du tout une priorité dans le réseau public du Québec. Les chirurgies orthopédiques sont souvent moins urgentes car elles ne menacent pas la survie immédiate. "Cela ressemble à un jeune [avec la même blessure] pour arrêter de jouer et attendre son tour", a déclaré le chirurgien travaillant uniquement dans le secteur privé. Même s'il nécessite 9 000 $ à 14 000 $ pour faire une luxation de l'épaule, le Dr Beauchamp voit la demande croissante. "Parfois, les gens viennent parce qu'ils attendaient depuis un an ou ils ont été dit que cela prendrait un an", poursuit-il, ajoutant qu'il traite également les patients de l'Ontario ou du Theatlantic. Les retards accumulés en chirurgie au Québec sont principalement expliqués par un manque de travail, souvent appelé dans le renforcement ailleurs. Sans que le personnel lance une salle d'opération, elle reste fermée. Tanné pour tourner leurs pouces, le chirurgien Pascal-André Vendittoli de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont a ouvert une clinique privée. Quintuple Au cours des deux dernières années, la demande a été quintuple, a-t-il déclaré. De 250 arthroplasties à la hanche par an, elle a fait environ 1 200 en 2022, au coût de 24 000 $. "Ce ne pas des gens riches, mais ils sont dans une situation insupportable et ils prêts vendre leur voiture ou à emprunter des proches pour se soulager", déplore-t-il. Une pièce par semaine Le président de la Québec Orthopedics 'Association, le Dr Véronique Godbout, explique que les chirurgiens disposent actuellement d'une salle d'opération par semaine dans les hôpitaux où ils travaillent. "L'idéal serait au moins deux chambres ou plus par semaine
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Un québécer souffrant de la même blessure à l'épaule que l'ailier gauche du Canadien, Cole Caufield, pourrait attendre des mois ou même un an avant d'être opéré dans la province, où les attentes atteignent des hauteurs. Actuellement, chirurgies orthopédiques, pour muscles et os, sont celles où il y a patients plus attendus. Comme le 31 décembre 2022, 39 241 personnes attendaient chirurgie orthopédique, un sommet inégalé depuis le début la pandémie, selon les données de laMinistère santé et des services sociaux . Un peu 10 000 personnes sont conduites depuis de six mois et les patients orthopédiques comptent depuis près d'un tiers des personnes en attente pendant d'un an, soit 6 000. Le joueur vedette des habits, Cole Caufield, doit être exploité mercredi dans le Colorado par le Dr Peter Millet.subissent la même opération. "C'est un excellent choix, ils sont allés chercher la crème de la crème", a déclaré le chirurgien Marc Beauchamp, qui a une clinique privée spécialisée dans l'épaule et le coude de Montréal. Pas la priorité Néanmoins, le fonctionnement d'une journée pour attacher des ligaments, simple à organiser et avec une plate-forme technique de base, ne serait pas du tout une priorité dans le réseau public du Québec. Les chirurgies orthopédiques sont souvent moins urgentes car elles ne menacent pas la survie immédiate. "Cela ressemble à un jeune [avec la même blessure] pour arrêter de jouer et attendre son tour", a déclaré le chirurgien travaillant uniquement dans le secteur privé. Même s'il nécessite 9 000 $ à 14 000 $ pour faire une luxation de l'épaule, le Dr Beauchamp voit la demande croissante. "Parfois, les gens viennent parce qu'ils attendaient depuis un an ou ils ont été dit que cela prendrait un an", poursuit-il, ajoutant qu'il traite également les patients de l'Ontario ou du Theatlantic. Les retards accumulés en chirurgie au Québec sont principalement expliqués par un manque de travail, souvent appelé dans le renforcement ailleurs. Sans que le personnel lance une salle d'opération, elle reste fermée. Tanné pour tourner leurs pouces, le chirurgien Pascal-André Vendittoli de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont a ouvert une clinique privée. Quintuple Au cours des deux dernières années, la demande a été quintuple, a-t-il déclaré. De 250 arthroplasties à la hanche par an, elle a fait environ 1 200 en 2022, au coût de 24 000 $. "Ce ne pas des gens riches, mais ils sont dans une situation insupportable et ils prêts vendre leur voiture ou à emprunter des proches pour se soulager", déplore-t-il. Une pièce par semaine Le président de la Québec Orthopedics 'Association, le Dr Véronique Godbout, explique que les chirurgiens disposent actuellement d'une salle d'opération par semaine dans les hôpitaux où ils travaillent. "L'idéal serait au moins deux chambres ou plus par semaine