Novak Djokovic était-il si nerveux dans sa demi-finale?
- l’année dernière
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https://gotopnews.com/post/1581049
C'est presque trop facile. L'impression laissée sur Rod Laver Arena par Novak Djokovic, car le début de la deuxième semaine est celui d'une maîtrise totale des événements, une gigantesque marge sur compétition.et Tommy Paul aussi impuissant que l'admiration du niveau de leur bourreau. À cette étape, seul Djokovic lui-même semble être en mesure d'empêcher son propre couronnement dimanche à Melbourne. UN D Comment? En laissant pieu prier sur le jeu.Vendredi, Djokovic a commencé son match beaucoup plus tendu que dans huitième et quart de finale. Si cela n'a pas d'abord été traduit par un score, le Serbi semblait être submergé par autre chose que la qualité du tennis de son adversaire.Commissant 24 défauts directs dans le tour inaugural, plus que dans son match précédent contre Rublev. Open d'Australie à Melbourne, il sert le feu pour mieux resserrer le match il y a 41 minutes Chaque Grand Chelem est une opportunité d'or, je ne sais pas combien j'aurai encore "Dans le premier set, à 5-1, j'ai servi pour la manche avec une balle de set, puis les choses ont changé rapidement et j'étais vraiment tendu sur le terrain. Il est revenu à 5 partout. Ialso avait des préoccupations physiques et émotionnelles. Je suis.Imaginez que dans ce type de matchs particuliers, à un stade avancé dans un grand slam, nous pouvons nous attendre à traverser une, deux ou trois crises. Le meilleur est le plus peu possible, mais c'est ce qui m'est arrivé ", a-t-il déclaré àune conférence de presse. Djokovic: "15 ans après ma première finale, je n'aurais pas pu imaginer où je suis aujourd'hui" Très rapidement vindicatif en ce qui concerne son clan, il a finalement trouvé son sang-froid rapidement et surmonté cette crise. Mais pourquoi cette tension dans un rendez-vous si familier pour lui - c'était sa 10e demi-finale à l'Australian Open - face à un novice dans le dernierSquare comme Tommy Paul? "À ce stade de ma carrière quand je suis à la fin de la quinzaine, je sais que chaque grand slam est une occasion en or d'obtenir un autre trophée. Je ne sais pas combien d'opportunités j'ai encore.Bien sûr, je ressens la pression et le stress, comme tout autre joueur. Je ressens de la nervosité, de l'enthousiasme. Il y a beaucoup d'émotions qui me traversent ", a-t-il déclaré. Même si sa marge et son endurance physique ne le montrent pas, Djokovic sait qu'à 35 ans, le temps finira également par jouer contre lui. Cependant, il ne l'a jamais caché, le record du nombre titres du Grand Chelem est le grandObjectif de sa fin carrière. L'arène Rod Laver est son jardin - il n'y a jamais été perdu une fois que les quartiers sont croisés - le Serbe est bien conscient qu'il s'agit d'une occasion de rêve pour égaler les 22 couronnes Rafael Nadal. Il se sent donc dansUne façon forcée de gagner, d'autant plus contre un joueur du calibre de To
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C'est presque trop facile. L'impression laissée sur Rod Laver Arena par Novak Djokovic, car le début de la deuxième semaine est celui d'une maîtrise totale des événements, une gigantesque marge sur compétition.et Tommy Paul aussi impuissant que l'admiration du niveau de leur bourreau. À cette étape, seul Djokovic lui-même semble être en mesure d'empêcher son propre couronnement dimanche à Melbourne. UN D Comment? En laissant pieu prier sur le jeu.Vendredi, Djokovic a commencé son match beaucoup plus tendu que dans huitième et quart de finale. Si cela n'a pas d'abord été traduit par un score, le Serbi semblait être submergé par autre chose que la qualité du tennis de son adversaire.Commissant 24 défauts directs dans le tour inaugural, plus que dans son match précédent contre Rublev. Open d'Australie à Melbourne, il sert le feu pour mieux resserrer le match il y a 41 minutes Chaque Grand Chelem est une opportunité d'or, je ne sais pas combien j'aurai encore "Dans le premier set, à 5-1, j'ai servi pour la manche avec une balle de set, puis les choses ont changé rapidement et j'étais vraiment tendu sur le terrain. Il est revenu à 5 partout. Ialso avait des préoccupations physiques et émotionnelles. Je suis.Imaginez que dans ce type de matchs particuliers, à un stade avancé dans un grand slam, nous pouvons nous attendre à traverser une, deux ou trois crises. Le meilleur est le plus peu possible, mais c'est ce qui m'est arrivé ", a-t-il déclaré àune conférence de presse. Djokovic: "15 ans après ma première finale, je n'aurais pas pu imaginer où je suis aujourd'hui" Très rapidement vindicatif en ce qui concerne son clan, il a finalement trouvé son sang-froid rapidement et surmonté cette crise. Mais pourquoi cette tension dans un rendez-vous si familier pour lui - c'était sa 10e demi-finale à l'Australian Open - face à un novice dans le dernierSquare comme Tommy Paul? "À ce stade de ma carrière quand je suis à la fin de la quinzaine, je sais que chaque grand slam est une occasion en or d'obtenir un autre trophée. Je ne sais pas combien d'opportunités j'ai encore.Bien sûr, je ressens la pression et le stress, comme tout autre joueur. Je ressens de la nervosité, de l'enthousiasme. Il y a beaucoup d'émotions qui me traversent ", a-t-il déclaré. Même si sa marge et son endurance physique ne le montrent pas, Djokovic sait qu'à 35 ans, le temps finira également par jouer contre lui. Cependant, il ne l'a jamais caché, le record du nombre titres du Grand Chelem est le grandObjectif de sa fin carrière. L'arène Rod Laver est son jardin - il n'y a jamais été perdu une fois que les quartiers sont croisés - le Serbe est bien conscient qu'il s'agit d'une occasion de rêve pour égaler les 22 couronnes Rafael Nadal. Il se sent donc dansUne façon forcée de gagner, d'autant plus contre un joueur du calibre de To