Bruxelles: le fusible quitte les marolles, les réactions sont liées
  • l’année dernière
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Le Fuse fêtera ses trente ans dans les Marolles, mais pas un an de plus. Face à la plainte d'un voisin pour nuisances sonores et aux restrictions sonores imposées par Bruxelles Environnement , le célèbre club bruxellois a annoncé son intention de déménager d'ici deux ans, seul moyen de résoudre le conflit. En échange, Bruxelles Environnement a revu ses restrictions sonores la baisse : il autorise le club à organiser 90 événements par an partir de 23 heures. à 7 heures du matin, à raison de deux maximum par semaine. C'est moins qu'avant la fermeture. "Le Fuse nous a fait part son intention de déménager d'ici deux ans", explique Pascale Hourman, porte-parole Bruxelles Environnement. Et donc, soit des travaux ont été faits – mais pour le Fuse il semblerait ces travaux ne puissent être réalisés sans mettre en péril stabilité du bâtiment et la fiabilité de discothèque du fait de leurs coûts très élevés – soit le club déménage et que c'est ce sa direction a proposé. » Parce que le Fuse a promis de quitter les lieux d'ici deux ans, l'administration régionale leur accorde un délai pour continuer à faire résonner la basse, le temps de trouver un autre lieu, selon les conditions évoquées ci-dessus. « La mission Bruxelles Environnement est de respecter l'environnement tranquillité des riverains un équilibre doit être trouvé entre le dynamisme vie nocturne bruxelloise tranquillité santé des Bruxellois. Mort dans l'âme, la Fusée vit ses dernières nuits dans les Marolles. Les réactions se succèdent « En réalité, cette décision n'est pas une décision d'ouverture mais elle marque la fermeture de Fuse car la loi interdit à un établissement commercial d'ouvrir dans une zone industrielle. Donc, personne ne sait aujourd'hui où il pourrait s'installer d'autre », explique Lorenzo Serra de la Brussels By Night Federation. « Nous ne poussons pas à fermer une simple boîte nuit ne respecte rien d'autre que le temple la techno, une institution culturelle qui fait la programmation et fait notre fierté au-delà nos frontières. Un lieu qui a un rôle social et structurant. C'est l'opéra du 21e siècle que l'on pousse à fermer contre l'opinion populaire : 70 000 personnes ont signé la pétition pour sauver la Fusible. Pour Lorenzo Serra, le problème est bien plus large qu'une simple dispute de voisinage. « Il faut faire reconnaître ces lieux – ou du moins certains d'entre eux – comme établissements d'utilité publique, c'est le principe des agents de changement qui dit que quelqu'un qui va s'installer dans un quartier vivant, c'est sa responsabilité de tout faire. pour limiter le bruit. Elle dépasse le principe d'antériorité. Il est urgent de cartographier Bruxelles pour protéger le tissu existant afin de garder une ville dynamique et sécurisée. Le secteur de nuit fait partie de la solution. Il s'agit d'un enjeu polit
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