Déchets nucléaires: un dossier de 10 000 pages pour convaincre la sécurité du site d'enfouissement C
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Le site de litière de déchets nucléaires appelée CIGEO, exploitée par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs , à Bure , en octobre 2020. Jean-Christophe Verhaegen / AFP Il s'agit d'une étape majeure en vue l'éventuel enterrement sous terre dans l'est la France, par un horizon encore éloigné, des déchets nucléaires les plus dangereux.a officiellement transmis au ministère la transition l'énergie lundi, son centre stockage géologique CIGEO . Ce fichier, lourd avec 10 000 pages, ouvre voie plusieurs années d'enquête qui pourraient conduire au feu vert des autorités à constructionde l'infrastructure, sur un terrain situé limite des départements de Meuse et du Haute-Marl. "Cette demande d'autorisation créer est l'aboutissement trente ans d'études recherches vingt ans travail dans laboratoire souterrain [construit sur site], il se produit après trois débats publics trois lois sur sujet, a souligné Pierre-Marie Abadie, directeur général d'Andra.Le projet a atteint une phase maturité. »» Lancé en 1991, Cigéo vise à stocker, à moins 500 mètres couches d'argile, 83 000 m3 déchets nucléaires appelés "Activité moyenne longue pour la longue durée vie" et "Haute activité", ce dernier étant le plus radioactif. Plus de la moitié de ces déchets ontdéjà produit et est actuellement stocké temporairement, en particulier dans les installations d'Orano à La Haye . Dispositions "multiples, variées et redondantes" Mandaté pour piloter phase d'instruction technique, l'autorité de nucléaire aura un rôle crucial.La sécurité ainsi que sur des groupes d'experts, évaluent la manière dont Theandra a l'intention de garantir du centre d'enfouissement pendant sa phase d'exploitation, mais aussi après sa fermeture. Le site est effectivement destiné à être entièrement scellé après centEt vingt ans, la couche géologique devant agir comme une barrière naturelle tandis que certains déchets resteront radioactifs jusqu'à des centaines de milliers d'années. "Les paquets déchets pourraient provoquer des versions radioactivité", explique, par exemple, Frédéric Plas, le directeur du projet CIGÉO Andra.Le premier arrangement pour faire face à ce risque est lié l'emballage ces paquets, qui sera placé dans du béton épais ou en acierLes conteneurs.Tous les risques et garantissent que même en cas d'accident sévère, les conséquences "resteraient très limitées et ne nécessiteraient pas mesures protection topublique". Vous avez 51,37% .
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