Nomination au CF Montréal: Pauline Marois "a échoué"
  • l’année dernière
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L'ancien Premier ministre du Québec, Pauline Marois, a déclaré qu'il avait été "confronté" jeudi en apprenant la nomination d'un entraîneur la FC Montréal qui avait encouragé sa tentative de meurtre lors son élection en 2012. "Il a un peu confus car [...] je ne pouvais pas imaginer que l'on pouvait faire confiance à quelqu'un, lui donner un mandat si important après avoir fait de tels commentaires", a déclaré jeudi matin Pauline Marois au microphone de Paul Arcand. Lundi soir, la nomination Sandro Grande en tant qu'entraîneur réserve pour la FC Montréal a provoqué fortes réactions, sorte que le club sport est rapidement revenu à sa décision en se dissociant l'entraîneur. Agence Photo QMI, Joël Lemay Rappelons que ce dernier avait fait des remarques inacceptables sur les réseaux sociaux en réagissant à la fusillade de la métropole après l'élection de Pauline Marois en encourageant le tireur. Avait alors Sandro Grande. Pour Pauline Marois, ces remarques "blâmables" n'auraient pas dû lui permettre de poursuivre sa carrière, celui qui aurait nié avoir fait ces remarques en expliquant qu'il avait été piraté. "J'ai été confrontée [...]. Je m'excuse pour le club. Ils reconnaissent qu'ils ont pris une mauvaise décision, qu'ils ont fait un mauvais jugement. Conformément, ils sont revenus à leur décision", a-t-elle déclaré. Au cours des dix dernières années, les commentaires haineux ont continué à aligner la toile, a noté l'ancien Premier ministre. "Il a été amplifié depuis ce temps. Nous n'avions jamais eu autant de messages haineux en ce qui concerne les politiciens [...] en particulier car nous le savons, sont souvent contestés par des messages très virulents et très agressifs", a-t-elle déclaré au 98.5. Outre ses remarques haineuses concernant Pauline Marois, Sandro Grande aurait également attaqué un membre de son équipe, essayant de l'étrangler, a déclaré ce dernier dans l'interview. "C'est tout à fait douteux comme comportement, pour ne pas dire condamnable", a-t-elle commenté.
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