Légendes alpines au Musée national, de Tell au Bridge du diable

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L'exposition examine la structure, l'origine et les messages des légendes, ainsi que la fascination qu'ils exercent sur les hommes. Musée national, Zurich SDA Les légendes alpines sont au cœur d'une exposition pour voir vendredi au National Museum de Zurich.De le pont du diable à Guillaume Tell, nous pouvons redécouvrir leur message, ainsi que leur origine réelle et parfois insoupçonnée. La légende de Guillaume Tell a son origine de la mythologie nordique.Ce héros national par excellence. Cette légende est immortalisée pour la première fois sous le nom de Guillaume Tell en 1470 dans le "Paper blanc de Sarnen", écrit par le chancelier d'Obwald.later, grâce au drame Schiller de 1804, sa réputation s'étend au-delà de l'allemandespace. Identification renforcée par de vrais endroits La force du personnage à l'arbalète est telle qu'il prend les Suisses dans sa rébellion contre le pouvoir, leur fait ressentir leur propre besoin d'indépendance et il leur donne le courage de résister. Par la suite, il est soulevé dans la statue des héros nationaux.Son arbalète devient même une étiquette de qualité pour les produits suisses. Contrairement aux contes, les légendes semblent "vraies": elles se réfèrent toujours à de vrais endroits. Cette impression de vérité est correctement marquée dans des légendes historiques, où les personnages réels ou présumés de l'histoire sont mis en scène dans des endroits connus.La pomme en est la plus célèbre. Le pont du diable, légende de la gothard Dans l'exposition à découvrir jusqu'au 23 avril, le Musée national revient également à la légende d'une poupée de paille qui prend vie.L'axe du Col du Gothard. Le diable a besoin d'âmes partout en échange de ses services. Les Uranais parviennent à le plonger en lui donnant, pour seulement hommage, l'âme d'une chèvre qu'ils poursuivent pour le pousser à traverser le pont. Il y a diverses variantes de cette légende.est un chien que nous appâtons de l'autre côté du pont avec de la viande. Le pont du diable est également un motif récurrent des paysages représentés pour satisfaire le goût des touristes. Le musée examine également la légende morale du Blüemlisalp, publié en 1707 par le docteur et naturaliste Johann Jakob Scheuchzer.Une vacheur vanié vivant dans l'abondance d'un alpin fertile gaspille les dons de la nature tandis que les villageois souffrent de la faim dans la vallée.Mais il refuse de partager sa richesse. En tant que punition, son pâturage fertile se transforme en un désert de pierre et de glace.

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