Affaire Jubilla : 'Il a eu du mal à accepter l'idée du divorce', le juge entend la mère de Cédric

  • il y a 2 ans
La mère de Cédric Jubular, Nadine Fabre, a récemment été entendue par le juge d'instruction chargé du meurtre de Delphine Jubular dans le Tarn. elle...
#AffaireJubillar # #Ilvivait
La mère de Cédric Jubular, Nadine Fabre, a récemment été entendue par le juge d'instruction chargé du meurtre de Delphine Jubular dans le Tarn. Elle a confié au juge que son fils et sa belle-fille, dont le corps n'a pas encore été retrouvé, "ont du mal à accepter l'idée d'un divorce".



Avec beaucoup de prudence, la mère de Cédric Jubillar, Nadine Fabre, a été récemment jugée par deux juges d'instruction, Audrey Assemat et Coralyne Chartier, accusées du meurtre de sa femme Delphine à Cagnac-les-Mines (Tarn). Lors de l'audience du 20 janvier, la mère de Cédric a été interrogée sur la procédure de divorce entre Delphine et son fils et les menaces de ce dernier sur son épouse.

Les parties civiles dans cette affaire ont toujours voulu connaître la vérité sur leur belle-fille.Dans la soirée des 15 et 16 décembre 2020, Nadine Fabre a expliqué très clairement l'état psychologique de son fils. La mère, qui a été interpellée par la police le 16 juin 2021, a expliqué : "Il était très inquiet pour sa maison et avait du mal à accepter l'idée d'un divorce avec Delphine". Cédric Jubilar lui-même a acheté le terrain et construit ce pavillon familial à Cagnac-les-Mines il y a plus de 7 ans. Mais les travaux ont peu avancé, notamment des tensions avec sa femme, une infirmière, qui lui reproche un manque d'investissement.

Elle contredit la déclaration de Cédric

L'affirmation de Nadine Fabre selon laquelle il avait des difficultés dans son divorce imminent contredit les propos de son fils, qui a toujours dit à la gendarmerie "tout va bien". Elle a également confirmé les menaces de mort de son fils à sa femme, qu'il soupçonne de l'avoir trompé. Les menaces, "je ne les ai pas prises au sérieux", ont désigné Nadine Fabre devant le juge d'instruction.

L'audience fait suite à celle de deux riverains de la résidence Jubilla, une mère et sa fille, que le juge a également entendue le 11 janvier 2022. Le témoignage d'une des mères différait, indiquant qu'à partir de 23 heures environ le 15 décembre 2020, une femme qu'elle entendait, en direction de la maison Jubilla à 100 mètres d'elle, ressemblait en réalité à deux scènes de combat de chiens. et ces cris "horribles" peuvent correspondre à une tenue

Recommandée