L’émotion en Normandie après l’effondrement de la pointe du Hoc, site emblématique de la Seconde Gue
  • il y a 2 ans
Entre Omaha Beach et Utah Beach, c’est un véritable symbole du Débarquement en Normandie qui disparaît.Point stratégique du mur de l’Atlantique, le site de la pointe du Hoc – sur la commune de Cricqueville-en Bessin (Calvados) – avait été pris d’assaut le matin du 6 juin 1944 par les rangers du colonel Rudder. Ce fut l’une des batailles les plus difficiles.Cet éperon rocheux, « que l’on croyait inébranlable, soutenu par l’histoire », écrit un internaute sur Twitter, vient en partie de s’effondrer. Parti à la mer. L‘accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement En cliquant sur « J‘ACCEPTE », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires J‘ACCEPTE Et pour mieux rémunérer 20 Minutes, n'hésitez pas à accepter tous les cookies, même pour un jour uniquement, via notre bouton "J‘accepte pour aujourd‘hui" dans le bandeau ci-dessous. Plus d’informations sur la page Politique de gestion des cookies.  Aux Etats-Unis, ce lieu « symbolise à jamais la bravoure et l’esprit de sacrifice », résume France 3 Normandie qui diffuse les images de ce qui reste désormais : « une arête bien frêle ». 261 rangers américains avaient escaladé cette falaise avec l’intention de détruire des pièces d’artillerie nazies qui menaçaient Omaha Beach. Presque tous seront tués ou blessés, mais la mission avait été accomplie.  Chaque année, des dizaines de milliers de visiteurs viennent se souvenir. Ils arpentent ce lieu visible dans le film, monument du cinéma, « Le jour le plus long ». Le tournage dans le Calvados de l’attaque de cette falaise du Bessin avait eu lieu durant l’été 1961. L‘accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement En cliquant sur « J‘ACCEPTE », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires J‘ACCEPTE Et pour mieux rémunérer 20 Minutes, n'hésitez pas à accepter tous les cookies, même pour un jour uniquement, via notre bouton "J‘accepte pour aujourd‘hui" dans le bandeau ci-dessous. Plus d’informations sur la page Politique de gestion des cookies.  Mais, plus discrètement, et malgré des travaux engagés, l’érosion de ces falaises calcaires a été la plus forte.« Il faut bien se rendre à l’évidence, aujourd’hui, les vestiges de la bataille de Normandie sont condamnés », déplore Marc Laurenceau, historien spécialiste du Débarquement, interrogé par France 3. « Peut-être que l’éperon ne résistera pas aux pluies de l’automne », estime-t-il.
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