Le photographe Québecois Éric Lajeunesse expose à Paris
- il y a 15 ans
Exposer mon point de vue!
Moi, Éric Lajeunesse, photographe, cherche à comprendre le corps qui bouge et qui parle à la fois. Puisque le langage corporel s’écrit et s’efface aussitôt, il faut donc arrêter le mouvement, le retenir un instant,question de figer le geste en un éclair, pour le laisser reprendre son élan et terminer sa chute. J’alterne donc les photographies arrêtées et celle en mouvement.
L’alphabet du langage corporel se dessine entre le mouvement et l’inertie. L’attraction du corps et de l’espace qui s’embrassent, s’amalgament, se découvrent et se moulent l’un à l’autre,gorgés de lumière et de clair-obscur.
Ma démarche s’inscrit dans une longue évolution esthétique ; de la grande tradition du reportage social américain, puis inspirée par l’approche européenne, et débouchant enfin sur l’art à part entière. Je m’inspire du travail exceptionnel des légendes de l’Art photographique : Ansell Adams, pour ses spectaculaires ciels et paysages, Henri Cartier-Bresson, pour son tour du monde en monochrome, Robert Doisneau pour sa vie parisienne, Ralph Gibson pour sa subjectivité, Helmut Newton pour ses mises en scène et sa lumière noire, et Edouard Boubat, pour sa tendresse et son humanité.
En un mot comme en mille, j’essaie humblement d’archiver la beauté du monde, en faire un panorama.
C’est à l’art de saisir l’éphémère. C’est l’œil qui découpe, dissèque, décortique, saisissant au passage un peu de lumière sur un visage, sur un coin de table ou sur une ruelle.C’est l’empreinte de la vie sur pellicule. C’est un point de vue singulier sur la réalité. En fait, c’est un langage universel devenu art.
A la Caféothèque de Paris du 22 janvier au 20 mars 2009
52, rue de l’Hôtel-de-Ville, 75004 Paris
Tél. : +33(01) 5301 8384 — Fax : +33(01)
A la Caféothèque du 22 janvier au 20 mars 2009
http://www.ericlajeunesse.com/
http://www.worlds-bestcoffees.com/
©mario2000@noos.fr
pour http://paris.evous.fr/
Janvier 09
Moi, Éric Lajeunesse, photographe, cherche à comprendre le corps qui bouge et qui parle à la fois. Puisque le langage corporel s’écrit et s’efface aussitôt, il faut donc arrêter le mouvement, le retenir un instant,question de figer le geste en un éclair, pour le laisser reprendre son élan et terminer sa chute. J’alterne donc les photographies arrêtées et celle en mouvement.
L’alphabet du langage corporel se dessine entre le mouvement et l’inertie. L’attraction du corps et de l’espace qui s’embrassent, s’amalgament, se découvrent et se moulent l’un à l’autre,gorgés de lumière et de clair-obscur.
Ma démarche s’inscrit dans une longue évolution esthétique ; de la grande tradition du reportage social américain, puis inspirée par l’approche européenne, et débouchant enfin sur l’art à part entière. Je m’inspire du travail exceptionnel des légendes de l’Art photographique : Ansell Adams, pour ses spectaculaires ciels et paysages, Henri Cartier-Bresson, pour son tour du monde en monochrome, Robert Doisneau pour sa vie parisienne, Ralph Gibson pour sa subjectivité, Helmut Newton pour ses mises en scène et sa lumière noire, et Edouard Boubat, pour sa tendresse et son humanité.
En un mot comme en mille, j’essaie humblement d’archiver la beauté du monde, en faire un panorama.
C’est à l’art de saisir l’éphémère. C’est l’œil qui découpe, dissèque, décortique, saisissant au passage un peu de lumière sur un visage, sur un coin de table ou sur une ruelle.C’est l’empreinte de la vie sur pellicule. C’est un point de vue singulier sur la réalité. En fait, c’est un langage universel devenu art.
A la Caféothèque de Paris du 22 janvier au 20 mars 2009
52, rue de l’Hôtel-de-Ville, 75004 Paris
Tél. : +33(01) 5301 8384 — Fax : +33(01)
A la Caféothèque du 22 janvier au 20 mars 2009
http://www.ericlajeunesse.com/
http://www.worlds-bestcoffees.com/
©mario2000@noos.fr
pour http://paris.evous.fr/
Janvier 09