Le portrait de Florence Parly par Carine Bécard, dans Questions Politiques

Florence Parly : "Nous ne quittons pas le Sahel, nous réadaptons notre dispositif, nous le transformons de façon profonde (...). Nous avons rencontré des succès dans le combat que nous menons contre les groupes terroristes."

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Florence Parly :"Au fond, nos sociétés ne peuvent pas se passer de l'espace. Nous avons besoin de l'espace, et les militaires en ont évidemment besoin. Nous avons depuis des années investi dans ce domaine, mais nous devons rester dans la course."

Florence Parly : "Si nous sommes présents, c'est toujours à la demande des États. Nous nous adressons aux autorités publiques et politiques en place. Au Mali, la France a pesé pour que la transition vers un système civil soit mise en place."

Florence Parly : "Nous nous sommes fixés comme objectif de désorganiser profondément les groupes djihadistes et terroristes qui sévissent dans la région."

Florence Parly : "La force Barkhane est accompagnée par des moyens européens importants. Nous bénéficions d'un appui de la part des États-Unis (...). Et nous avons créé des forces spéciales qui aident les armées maliennes. La France n'est pas seule."

Florence Parly : "La dette, c'est la contrepartie des aides massives que nous avons injectées dans l'économie pour que les entreprises tiennent, pour que les emplois ne disparaissent pas. Nous n'avions pas le choix."

Florence Parly : "Je crois que le défilé du 14-Juillet est très apprécié par les Français, parce qu'ils sont fiers de leurs militaires, je suis profondément convaincue que nos armées sont au service de la République."

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Florence Parly : "Nous demandons l'arrêt des bombardements"

Florence Parly : "Nous avons commencé à vacciner les militaires confrontés à des situations particulières, comme nos sous-mariniers qui sont dans un univers confiné."

Florence Parly : "L'armée contribue à la campagne de vaccination, conformément à ce qu'on lui demande (...). Nous avons inséré des officiers qui s'occupent notamment de la logistique des vaccins."

Florence Parly : "Lorsque la France était présente militairement en Afghanistan, nous avons été soutenus par un certain nombre d'Afghans. Un certain nombre d'entre eux ont été rapatriés au cours des années."

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Florence Parly

Florence Parly : "Chaque fois que c'est possible, il faut privilégier, lorsqu'il s'agit de systèmes critiques, des solutions souveraines."

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