Un Musulman roué de coups agression présumée d'un vidéaste
- il y a 15 ans
Un Musulman roué de coups agression présumée d'un vidéaste Kemi Seba toujours en garde à vue
groupuscule noir radical Tribu Ka, se trouvait toujours samedi matin en garde à vue dans un commissariat parisien, soupçonné d'avoir agressé un vidéaste auteur d'un film critique sur sa vie, a-t-on appris de source policière.
Kemi Seba, de son vrai nom Stellio Capochichi, était entendu par la police depuis vendredi soir, dans le cadre d'une enquête pour violence volontaire en réunion, qui aurait été commise avec trois autres personnes.
Selon Ahmed Menguini, auteur de la vidéo "Kemi Seba, la vérité" qui circule sur internet, Kemi Seba et les trois personnes qui l'accompagnaient l'auraient roué de coups dans la soirée, rue de Clignancourt à Paris (XVIIIe).
Ahmed Menguini avait affirmé vendredi soir à l'AFP s'être rendu au service des urgences d'un hôpital parisien après avoir reçu des coups au visage, à la jambe et au bras.
Son état n'inspire "aucune inquiétude", assurait-on samedi de source policière.
Kemi Seba a été condamné début novembre en appel à un an de prison avec sursis et 18 mois de mise à l'épreuve pour avoir reconstitué son groupuscule Tribu Ka, dissous en 2006.
Il a aussi été condamné en octobre par le tribunal correctionnel de Paris à quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour diffamation raciale.
La Tribu Ka, accusée notamment d'antisémitisme, avait été dissoute par décret en Conseil des ministres paru le 29 juillet 2006 au Journal officiel, sur proposition du ministre de l'Intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy.
groupuscule noir radical Tribu Ka, se trouvait toujours samedi matin en garde à vue dans un commissariat parisien, soupçonné d'avoir agressé un vidéaste auteur d'un film critique sur sa vie, a-t-on appris de source policière.
Kemi Seba, de son vrai nom Stellio Capochichi, était entendu par la police depuis vendredi soir, dans le cadre d'une enquête pour violence volontaire en réunion, qui aurait été commise avec trois autres personnes.
Selon Ahmed Menguini, auteur de la vidéo "Kemi Seba, la vérité" qui circule sur internet, Kemi Seba et les trois personnes qui l'accompagnaient l'auraient roué de coups dans la soirée, rue de Clignancourt à Paris (XVIIIe).
Ahmed Menguini avait affirmé vendredi soir à l'AFP s'être rendu au service des urgences d'un hôpital parisien après avoir reçu des coups au visage, à la jambe et au bras.
Son état n'inspire "aucune inquiétude", assurait-on samedi de source policière.
Kemi Seba a été condamné début novembre en appel à un an de prison avec sursis et 18 mois de mise à l'épreuve pour avoir reconstitué son groupuscule Tribu Ka, dissous en 2006.
Il a aussi été condamné en octobre par le tribunal correctionnel de Paris à quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour diffamation raciale.
La Tribu Ka, accusée notamment d'antisémitisme, avait été dissoute par décret en Conseil des ministres paru le 29 juillet 2006 au Journal officiel, sur proposition du ministre de l'Intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy.