Ayant vaincu le pseudo-dragon qui gardait l'ascenseur au bout du couloir de la Forteresse d'Aldia envers le nid, rempli avec son espèce, je décide de retourner à Majula pour attentivement penser au sujet de mes options avant de progresser dans la direction du bâtiment, visible au bout de l'Aire du Dragon. Prenant en considération l’âme du dernier patron, je me prépare - avant quoi que ce soit d'autre - à visiter les deux personnages qui peuvent potentiellement l'échanger pour quelque chose véritablement utile...je me mets même l'anneau rituel du Sud, étant prêt à voir quelque sort tout puissant qui nécessite plusieurs emplacements...mais Starid, apparemment, n'a pas de capacité à transformer cette essence vitale que le jambon lui apporte dans un objet d'utilité possiblement supérieure, donc je pars à Tseldora pour visiter Ornifex en massacrant les araignées sur mon chemin. La p*te-corbeau-forgeronne, de sa part, ne peut que me donner un ultra espadon, dont la puissance d’attaque - assez bizarrement - dépend sur la dextérité du utilisateur ou une lance qui fait des dégâts du feu. Me disant que les capacités de mon personnage entièrement offensif se sont déjà ramifié dans beaucoup trop de directions, dans l’aspect non seulement de la magie mais des armes aussi, je m'en vais sans payer encore des matériels pour des outils de guerre d'utilité discutable. Possédant quelques effigies humaines, je lance un gros soupir et je voyage à travers le feu à nouveau...
...courant à travers le Ravin Noir dans tout son dégoût - du poison étant craché dans toutes les directions pendant que les flaques d'huiles sur le sol rappellent qui y réside, je tombe sur le rebord où le dirigeant du Serment des Pèlerins des Ténèbres toujours attend - je me dis: "J'ai quelques effigies de plus, je ne les utilise pas pour restaurer mon humanité en tout cas, je veux juste terminer avec ce Gouffre Obscur une fois pour toujours!", donc j'ouvre le portail et je m'y rends encore une fois. Le personnage cuirassé - comme d’habitude - fait de dégâts énormes au jambon avec ses deux grands marteaux mais je remarque que si j'applique des coups d'estocs avec mon espadon de chevalier noir, la "tortue sombre" roule en arrière et de plus, son armure est trop lourde pour que cette action de retraite peut avoir lieu optimalement rapidement - je meurs sur cet essai aussi mais sur le suivant, mes coups forts, en effet, forcent cet adversaire de reculer...seulement pour qu'il soit remplacé par le pyromancien, incinérant le jambon avec des sorts incessants d'une puissance énorme qui lui permettent de blesser notre personnage aussi fortement que les marteaux mais de distance, voulant dire que je ne peux pas l’atteindre, même avec la portée que la gaufrette me donne. Enfin, quand je décide à passer ces deux et l'arbre-clerc qui les accompagne, allumant le bougeoir et courant vers la sortie, je ne trouve que de la brume qui m’empêche de m'en aller et l'autre trio qui marque la dépensée de mes effigies.